A l’Institut d’Economie Scientifique et de Gestion (IESEG) School of Management, où les
étudiants ont une aspiration à devenir les futurs managers, acteurs du développement de demain,
au coeur même de l’épanouissement du monde des affaires ; la réalisation du mémoire est un
moment crucial du parcours académique où chacun démontre sa valeur à travers ses travaux de
recherches.
Considéré comme le fruit des années d’étude et de recherche, travailler sur son mémoire n’est
pas une chose aisée et requiert une attention particulière de la part des étudiants.
Cet article présente d’ailleurs les astuces incontournables pour les étudiants de l’IESEG School
of Management pour réussir son mémoire.
1) Savoir choisir son sujet de mémoire : un sujet pertinent et novateur
Le choix du sujet parait souvent une étape simple et rapide, mais pourtant qui constitue la
plupart du temps un piège pour les étudiants s’il est négligé.
Bien choisir son sujet implique d’abord d’y accorder le temps nécessaire pour y réfléchir. Bien
choisir son thème c’est opter pour un thème qui nous intéresse et qui nous motive. Pour de
futurs managers, le choix du sujet en question doit pouvoir refléter les idées novatrices pour
l’aspect managérial, qui serviront d’impact dans son avenir professionnel.
2) « Autodiscipline » un maitre mot pour atteindre ses objectifs :
Un fondamental pour tout aspirant manager, c’est l’organisation. Une des valeurs de l’IESEG
reflétée par cela est le sens de l’engagement et de la responsabilité. Se doter d’une bonne
organisation et d’une bonne méthodologie dans la réalisation de son mémoire est un facteur clé
de réussite. Il est question ici d’instaurer une autodiscipline.
Il peut s’agir d’une part d’établir et de respecter son propre « deadline » pour chaque étape du
travail de recherche, et ce afin d’éviter les cas fréquents où l’on passe par des nuits blanches
pour terminer sa mémoire.
D’autre part, accorder une attention particulière à la prise de notes constitue un élément
important du travail de recherche, notamment lorsqu’ on fait face à des flux d’informations,
savoir enregistrer et trier les idées convenant au thème constitue en quelque sorte la base de
l’harmonisation du plan et des idées tout au long du développement du sujet.
3) Privilégier l’accompagnement pédagogique dans les recherches :
Concocter son mémoire de fin d’études requiert évidemment des recherches au-delà des
connaissances dispensées durant les nombreuses heures de cours. L’esprit de solidarité prôné
par l’IESEG y trouve également son compte pendant la réalisation du mémoire.
C’est dans cette phase que l’étudiant nécessite toutes sortes d’entraides extérieures qui lui
permettront de traduire la réalité pour bien valoriser son travail. A travers les discussions avec
les professionnels des entreprises et les enseignants ; les enquêtes auprès des citoyens, même
auprès des autres étudiants ; l’étudiant aura son propre point de vue et sa propre vision qui
seront d’une importance capitale pour le sujet à développer.
4) Accorder du temps à la rédaction du mémoire :
Cette étape parait souvent sous-estimée pourtant pour un mémoire satisfaisant et réussi, la
rédaction constitue l’image première du travail de l’étudiant. Bien rédiger son mémoire
implique d’abord de s’assurer que la lecture du travail puisse facilement éclairer les jurys dans
les idées soutenues à travers ses recherches. Également, une bonne rédaction reflète le
professionnalisme du travail, un élément important pour prouver sa crédibilité en tant que futur
acteur du changement de demain.
5) Maitriser son thème :
Le dernier chantier de réalisation de son mémoire concerne la préparation de la soutenance ellemême.
C’est un moment d’expression pour l’étudiant, d’où il est primordial que l’étudiant
maitrise le sujet qu’il développe. Maitriser son thème signifie s’approprier de son sujet et savoir
défendre ses opinions auprès du jury. L’étudiant doit dès lors développer son esprit
d’anticipation sur toutes discussions relatives à son sujet et prouver une aisance pendant la
présentation de son mémoire.