Dans un cursus universitaire, l’étudiant est sollicité à mener diverses recherches académiques et professionnelles afin de parfaire ses connaissances et son apprentissage nécessaires à son insertion professionnelle. Au terme de son parcours estudiantin, la présentation d’un mémoire est obligatoire, et ce, pour valider ses acquis où dans la plupart des cas, elle déterminera l’obtention d’un diplôme. Cependant, beaucoup d’entre eux appréhendent cette étape. Très souvent, l’impétrant doit affronter une période chargée où il doit gérer les examens ou le stage en entreprise avec la rédaction d’un mémoire. Dans le cas de l’EDC Paris Business School, qui est une école de renommée mondiale et une référence en leadership entrepreneurial, l’université offre à ses étudiants la possibilité d’embrasser directement une carrière professionnelle à travers des stages et missions de consulting tout en menant leur projet de mémoire dans un même temps. Cette période de la vie estudiantine se trouve ainsi l’une des plus stressantes dans lequel le respect du délai de dépôt des mémoires est l’une des préoccupations majeures. C’est ainsi que la question suivante trouve sa pertinence : « Comment réussir son mémoire à l’EDC business school ? »
- Choisir un encadreur pédagogique
Le choix d’un encadreur pédagogique peut donner une influence au mémoire de fin d’études de l’étudiant et à la manière dont il va travailler.
L’idéal est de choisir un responsable pédagogique qui maitrise le domaine qu’il veut exploiter. Dans le cas où l’impétrant a une relation privilégiée avec un professeur, cela facilitera les comptes rendus de l’avancée de ses recherches en établissant un échange franc et positif.
- Choisir un thème de mémoire
Rédiger son mémoire tout en travaillant n’est pas une mince affaire, surtout dans le cas d’une personne en quête d’un diplôme de Master spécialisé. Pour bien s’y prendre, le choix du sujet est la première étape importante. L’entreprise dans laquelle il ou elle travaille peut ainsi fournir d’un tremplin d’informations. Dans cette démarche, il lui sera ainsi facile de dégager une tendance pour en faire une ligne directrice de mémoire. Il faut toutefois noter qu’une recherche réussie est souvent basé par la maitrise de son thème. Egalement, le choix doit être en adéquation avec le cursus de la personne concernée.
- Etablir un protocole de recherche
Afin de ne pas perdre de vue le thème fixé, il est essentiel d’établir un protocole de recherche. Pour ce faire, une recherche à la fois bibliographique et webographique est nécessaire pour enrichir les connaissances de l’intéressé sur le thème choisi préalablement.
Cette partie est capitale que la première du fait que la problématique ou la question principale en découlera avec le plan détaillé du mémoire. A partir de ce principe, l’étudiant peut ainsi organiser son travail en suivant les grandes lignes directrices.
Généralement, le mémoire au niveau de l’EBC se subdivise en deux parties dont la première sera constitué du cadrage théorique tandis que la seconde donnera l’occasion de développer son point de vue sur le sujet par l’intermédiaire d’étude de terrain (enquêtes, observation, entretien,…)
- Effectuer un travail de terrain
Dans un mémoire de recherche, les étudiants sont souvent sollicités à effectuer une étude de terrain généralement appelée « la partie empirique du mémoire ».
Au préalable, il est primordial de mettre en place une méthodologie de recherche, basée sur le recueil des données. Dans le cadre d’une enquête par exemple, l’échantillon choisi doit être représentatif de la population étudiée.
La vérification des hypothèses de départ peut ainsi s’effectuer par le biais du résultat obtenu sur le terrain.
- Etablir un planning de travail sur la rédaction proprement dite
Il est souvent difficile pour une personne salarié ou consultant de trouver du temps pour rédiger son mémoire. Cependant le non respect des délais impartis peut gravement pénaliser l’auteur en vue de l’obtention du diplôme escompté. La mise en place d’un emploi du temps fixe est donc nécessaire en tenant en compte des imprévus et des empêchements.
Par ailleurs, il est conseillé de valider auprès de son tuteur pédagogique les parties rédigées afin de se concentrer sur le reste du travail.
Comme exposé précédemment, la réussite d’un mémoire de fin d’études est la combinaison de plusieurs éléments, à commencer par le choix de l’encadreur à la rédaction proprement dite. Bien que cette période soit stressante et pesante, il est essentiel de résister à la tentation du copier-coller. Les sources doivent toujours être mises en avant lors de la rédaction. Cette pratique donnera plus de crédit à la rédaction.
Bien choisir et bien présenter ses références bibliographiques
Elles sont citées en notes de bas de page. Une vue d’ensemble sur vos références bibliographiques suffit pour évaluer la qualité de votre travail. Il peut s’agir d’un ouvrage, d’un texte publié dans un ouvrage collectif, d’un article périodique, etc. Pour l’élaborer, vous devez suivre les règles imposées par les enseignants. C’est grâce à votre bibliographie que le lecteur pourra vérifier l’authenticité du contenu de votre recherche. Pour ce faire, nous vous conseillons de bien l’organiser : classement par ordre alphabétique en se basant sur le nom de l’auteur, présentation selon la nature du document et son intérêt, présentation par thème, etc.
Vos références bibliographiques doivent généralement contenir plusieurs informations, selon le type de document. S’il s’agit d’un ouvrage, par exemple, vous devez y mentionner le nom et le prénom, le titre, l’éditeur ainsi que le lieu et l’année de publication. Ajoutez à cela le nombre total de pages et le nom de la collection ainsi que d’autres informations utiles. Respectez toujours le nombre de références bibliographiques imposé par l’école pour faire preuve de professionnalisme.
Adoptez un style rédactionnel qui vous est propre
Après avoir sélectionné le sujet de votre mémoire de fin d’études, vous devez mettre en place un plan pour bien organiser votre travail. La plupart des étudiants ne sont pas très doués en rédaction. Pour simplifier les choses, nous vous proposons d’établir un plan. Grâce à ce plan, vous resterez centré sur le cœur de votre sujet de mémoire. Commencez ensuite par la structurer en mettant en avant les idées les plus importantes.
Quand vous faites la rédaction, nous vous conseillons de commencer par la page de garde. Continuez ensuite avec le sommaire, la préface et les remerciements. Après cela, vous pouvez rédiger le résumé de votre mémoire, puis l’introduction avant de passer à la partie théorique et la partie pratique. Vous pouvez terminer par la conclusion, la discussion et les autres informations utiles ainsi que la postface. En soignant la forme de votre mémoire, vous valorisez naturellement les idées qui y sont abordées.
Un mémoire digne d’un professionnel
Le fait que vous êtes encore en phase de la fin de vos études ne doit pas vous empêcher de travailler comme un professionnel. Pour éviter les erreurs, votre tuteur doit valider votre mémoire. Son approbation est nécessaire pour assurer la fiabilité de vos conclusions. Quand vous faites des recommandations, assurez-vous qu’elles apportent de la valeur ajoutée à l’entreprise. Appuyez-vous uniquement sur les études que vous avez faites sur le terrain. Aussi, proposez des justificatifs via les résultats de vos enquêtes.
A chaque fois que vous terminez une partie de votre mémoire, passez-la directement à votre tuteur afin qu’il puisse la valider. Vous resterez ainsi organisé tout en optimisant la crédibilité de votre mémoire. De plus, les risques de faire des erreurs ou être hors sujet sont limités puisque vous échangez régulièrement avec votre tuteur.
A l’EDC Business School, la norme pour un mémoire de commerce est de 50 pages. Aussi, faites attention à ce que les contenus soient bien équilibrés. Faites bien attention au titre et à la mise en page de votre mémoire de fin d’études. Prenez votre temps quand vous faites la relecture, car un travail propre et sans erreur augmentera votre crédibilité.