Lors d’un projet de rédaction d’un mémoire, bon nombre d’étudiants sont confrontés à la procrastination chaque année, ce qui les amène à se retrouver dans une situation souvent indélicate. Celle qui consiste à rédiger à la dernière minute, à accuser un retard de livraison, et donc entre autres, à ne pas bénéficier de tout le potentiel qu’ils auraient pu avoir pour la rédaction de leur mémoire. En effet, ils vont devoir faire des sacrifices sur la qualité de celui-ci, sur sa relecture, sur les échanges avec le tuteur, ce qui est relativement dommage.
Heureusement, il y a des techniques, psychologiques, simples mais efficaces qui permettent d’éviter les conséquences négatives liées à cette procrastination. En voici les deux principaux que nous vous conseillons de suivre pour éviter de vous retrouver dans une situation inconfortable le moment venu.
Fixez-vous des objectifs intermédiaires
Le premier conseil, et des plus importants, consiste à se fixer des objectifs intermédiaires avec un planning intermédiaire, et évidemment tâcher de les respecter. C’est une technique très connue, la loi de Parkinson, qui part du principe que les gens sont plus efficaces lorsqu’ils sont soumis à des deadlines. En effet, lorsqu’on se rapproche d’une date limite, nous sommes soumis aux effets de l’adrénaline et du stress, qui nous stimulent ainsi naturellement. Un état qui nous permet alors d’être ou de rester plus productif face à une situation.
Il est important de le faire, au risque d’entrer dans une phase un petit peu dilettante, nonchalante, qui vous empêche de donner le meilleur de vous-même pour réussir la rédaction de votre mémoire, et conditionner ainsi la validation de ce dernier. Ne pas le faire représente une situation génératrice de stress qui peut vous plonger dans un cycle de procrastination sans fin, et au final, vous conduirait jusqu’à l’échéance donnée par votre administration pour rendre votre manuscrit. Conséquence : la panique totale. Le schéma à éviter. A retenir donc, fixez-vous un planning réaliste dès le départ, un planning dans lequel vous fixerez un délai pour le plan, la partie théorique, la partie empirique, la finalisation, et sans oublier le délai de validation par votre directeur de mémoire. Ce dernier élément a son importance, il consiste à estimer une marge de temps, pendant laquelle vous allez pouvoir ajuster votre méthodologie ou le contenu de votre mémoire en fonction des éventuels retours de votre directeur de mémoire. Chaque échéance devra être respectée. En vous tenant à ce planning là, à chaque échéance intermédiaire, vous serez plus productif. Ce qui vous évitera in fine d’accuser un retard au moment du deadline final et par conséquent, de prévenir justement ce risque de procrastination.
Méfiez-vous des distractions
Le deuxième conseil que nous pouvons vous donner pour éviter cette procrastination c’est d’éviter de passer trop de temps en distractions. Le téléphone et internet par exemple peuvent vous faire rapidement oublier vos objectifs. Méfiez-vous donc de toutes les petites distractions qui vous pourraient vous faire oublier les priorités, soient celles de rédiger votre mémoire correctement, et oublier les échéances que vous vous êtes fixées dans votre planning.
En conclusion, fixez-vous un planning intermédiaire avec des échéances intermédiaires et tenez-vous-y avec rigueur. Éloignez-vous de toutes distractions ou essayez autant que faire se peut, de maintenir le plus possible votre organisation, ou tout au moins de l’ajuster intelligemment.
Dans le cas contraire, vous aurez beaucoup plus à perdre que l’effort que vous aurez mis en œuvre pour respecter le planning en question. Une situation loin d’être agréable, de ce que l’on a pu constater chez Expertmemoire. Donc pour les personnes qui sont amenées à rédiger leur mémoire, se retrouver à une ou deux semaines de la date limite et d’avoir quasiment pas avancé, subir le syndrome de la page blanche parce qu’elles ont procrastiné ou établi de planning, qu’elles n’ont rien organisé ou dépassé leurs échéances, nous recommandons en amont, de suivre ces conseils simples mais vraiment efficaces.
Évitez de reproduire ces erreurs principales que la plupart des étudiants font très régulièrement après constat de leur niveau de stress à la veille de la date limite du mémoire. N’oubliez pas qu’en recours, vous pouvez également solliciter de la part d’experts, de l’aide pour la rédaction de mémoire.
Sur ce, nous vous souhaitons bon courage pour la rédaction de votre mémoire.