
Pour certains d’entre vous, notamment ceux qui sont en école de commerce, on leur impose de rédiger un mémoire en anglais, puisque ça répond effectivement aux exigences du marché du travail.
Il y a plusieurs règles à suivre tant sur le plan de l’organisation de cette rédaction en anglais que sur le plan de sa formalisation.
On commence par la formalisation de cette rédaction en anglais. Si le mémoire doit être rédigé en anglais vous pouvez tout à fait vous baser sur une version que vous avez déjà rédigé en français, en faire la traduction dans un deuxième temps, et vous pouvez conserver naturellement les mêmes sources que vous ayez et étaient cités. Sur un mémoire en anglais on va veiller naturellement à ce qu’il y ait des phrases simples, parfois beaucoup plus simples que le français puisque la langue anglaise comporte des différences de formalisation, au niveau de la forme par rapport au français. Donc on peut conserver des sources qui peuvent être absolument de différentes zones géographiques. Ce qui compte c’est le caractère académique et la récence de ces sources. C’est vraiment le critère le plus important.
Après pour la traduction à proprement parler, vous pouvez utiliser des outils de traduction automatique comme Google translate, qui vous permettront de gagner beaucoup de temps lors de la traduction et naturellement ça va quand même nécessiter que vous repassiez dessus. Puisqu’une personne bilingue ou du moins qui a un niveau anglais courant, verra apparaître certains contre-sens puisque Google translate n’est pas parfait. On vous le rappelle, si vous aussi vous avez déjà passé le test, vous avez dû constater qu’il y a certes un contre sens. Il faut ainsi veiller à les corriger.
Ceci étant dit, ça permet de gagner beaucoup de temps pour ce qui est de la traduction rapide du contenu. C’est assez simple donc ce qu’on vous recommandera d’autant plus que le niveau d’anglais qui est requis par la plupart des écoles de commerce en France, n’implique pas un niveau d’anglais absolument extraordinaire. Donc on peut tout à fait utiliser Google translate et corriger les contre sens derrière. Donc il faut quand même que vous soyez à l’aise avec la formulation de ces phrases là et vous gardez naturellement des formulations succinctes : sujet, verbe, complément, et c’est parfait. Pour conserver les mêmes sources, la formalisation assez similaire, les mémoires en anglais affectionnent particulièrement la formalisation des sources, en suivant les normes APA.
Donc vous respectez effectivement ces quelques règles de base, vous utilisez effectivement des phrases qui sont simples. Si effectivement vous n’êtes pas à l’aise et ne voulez pas traduire certaines phrases, vous pouvez tout à fait les enlever. Pourquoi ne pas les remplacer par des schémas, ou par des points clés. Les anglophones sont assez à l’aise avec les idées qui sont synthétisées et c’est en plus appréciées dans les formations managériales d’être concis, de transmettre une information concise, synthétique sans forcément faire des phrases longues et trop développées. Puisque souvent le manager n’a pas le temps de lire des pavés avec peu de choses importantes. N’hésitez pas à synthétiser si effectivement vous n’êtes pas à l’aise avec certaines formulations lors de la traduction.
Enfin dernier conseil, c’est d’utiliser des vérificateurs automatiques d’orthographe. Au sein de Word, vous pouvez paramétrer la relecture automatique en anglais. Ce qui vous permettra aussi de mettre en évidence certaines erreurs au niveau grammatical, au niveau rédactionnel en anglais. Certaines erreurs peuvent être présentées de manière inadaptée, et non pertinente, donc ne prêtez pas attention ; pour les autres ça vous donne l’occasion de corriger de manière plus efficace certaines erreurs qui peuvent exister en anglais.
Ceci étant dit, google translate est quand même bien fait. On n’a pas de fautes d’erreurs grammaticales ou alors surtout des fautes de syntaxe en anglais et des contre sens au niveau du contenu. Donc ça nécessite d’avoir effectivement un œil humain qui va faire cette relecture et repasser dessus.
Vous pouvez également faire appel à un relecteur en anglais. Si vous voulez déposer une version absolument exempte de toute faute, vous pouvez effectivement faire appel à un relecteur anglophone, qui est bilingue en anglais, et qui fera une relecture assez rapide en une ou deux heures. Vous faites le gros du travail comme indiqué, puis vous lui demandez tout simplement de faire une relecture et de corriger les contre sens.
Espérant que cette vidéo va vous apporter quelques éclairages intéressants et vous apportera ce qui vous servira pour la rédaction notamment en anglais, bon courage pour la rédaction de votre mémoire en anglais.