Liste des Abréviations
AP Assemblée Parlementaire (OSCE)
BIDDH Bureau des Institutions Démocratiques et des Droits de l’Homme
CEIR Centre d’Evaluation d’Impact Règlementaire
CP Conseil Permanent (OSCE)
CPC Centre des Préventions des Conflits (OSCE)
CSCE Conférence sur la Sécurité et la coopération en Europe
CSO Comité des Seigneurs Officiers (CSCE)
EIR Evaluation d’Impact Règlementaire
FSC Forum pour la Sécurité et la coopération (OSCE)
NU Nations Unies
OCDE Organisation pour la Coopération et le Développent Européenne
ONG Organisation non-gouvernementale
OSCE Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe
PNUD Programme des Nations Unies pour le Développement
UE Union Européenne
SOMMAIRE
Introduction……………………………………………………………………………….. 6
Présentation de l’Institution – L’OSCE ………………………………………….. 8
La Guillotine Régulatrice…………………………………………………………….. 21
Les problèmes mises en question………………………………………………….. 33
Bibliographie……………………………………………………………………………… 36
Annexes……………………………………………………………………………………… 39
‘’… de donner un stimule politique au dialogue sur la transition et sur le développement des économies des libres marches
INTRODUCTION
Le stage au sein du Bureau de l’OSCE à Erevan, dans le cadre de mes études universitaire était une opportunité de pouvoir m’identifier comme une personnalité, une professionnelle et démontrer ma capacité du travail en équipe, sous une supervision ayant simultanément la responsabilité de travailler en autonomie.
Le Master 2 des Relations Internationales – en spécialisation de la Sécurité Internationale et Défense est une formation qui a un accent bi-sensé : au seine du droit des relations internationale (Géopolitique des Conflits, Droit de la Sécurité Internationale et de la Défense, Politique de Sécurité Internationales et de la Défense etc.) et plus spécialement en sécurité de l’économie (Guerres et Conflits Economiques, Economie de la Sécurité et de la Défense etc.), qui joue un rôle majeur dans la sécurité et défense international dans l’actualité mondiale.
La formation est avantageuse premièrement parce que elle ne concentre pas seulement sur une orientation spécifique du domaine, mais plutôt à un vue globale sur une telle ou telle question et c’est grâce au fait que peut être l’économie se reflète dans tous les domaines d’activités, qui nécessitent simultanément en sécurité.
Ce qui est important deuxièmement est le fait que l’orientation de cette spécialisation, les enseignements y sont variés et les perspectives de l’emploi à l’issue de la formation sont multiples.
Pour une perspective plus globaliste la formation abordes des matières diverses touchant aussi bien au droit public qu’au droit privé.
De plus, les entreprises, les organisations internationales, politiques, régionales les administrations centrales sont le large panel d’acteurs ayant des perspectives d’embaucher et recruter des étudiants.
Ma passion particulière pour les relations internationale et l’économie m’ont orientée définitivement d’effectuer mon stage et finalement être embauchée au seine du Bureau de l’OSCE à Erevan dans la dimension des Activités Economiques et Environnementales pour un Projet des Reformes Régulatrices nommé la Guillotine.
Le choix de stage dans le cadre de validation du Master 2 spécialisation professionnelle n’est pas une tâche facile dans un premier temps. Dès le début il faut une approche rigoureuse pour pouvoirs justement identifié le chemin professionnel. Plusieurs offres de stage et du travail se sont offertes à moi durant les trois longues moi de recherches : celle un travail dans une entreprise de commerce ou au Ministère des Affaires Etrangères de la RA, ou effectuer un stage dans une banque.
Le choix de stage au sein du Bureau de l’OSCE étais une parfaite opportunité pour moi de m’intégrer dans un milieu professionnel ou je pourrais montrer mes capacités professionnelles et des bonnes attitudes de la civilisation française dont j’ai pu apprendre beaucoup de choses. La formation de ce master « sécurité internationale et défense» étais pour moi aussi l’occasion d’allier mes expériences acquises à l’Ambassade d’Arménie en France, et en future aussi le stage au seine du Bureau de l’OSCE à Erevan.
PARTIE I : L’ORGANISATION POUR LA SECURITE ET LA COOPERATION EN EUROPE |
L’OSCE est une organisation régionale qui répond à un mandat large de promotion de la paix et de la sécurité par la coopération, le dialogue et une gamme d’instruments relevant de la gestion de crise. Elle met en œuvre le concept de sécurité coopérative, selon lequel la sécurité repose sur la coopération plutôt que sur la confrontation entre Etats.
L’OSCE qui compte 57 Etats[1] du monde parmi l’Amérique du Nord, L’Europe et l’Asie est l’organisation la plus la large de la Sécurité régionale au monde. Elle œuvre en faveur de la paix, de la démocratie et de la stabilité pour plus d’un milliard de personnes. L’Organisation pour la Sécurité et de la coopération en Europe est structurée de façon complexe dont le but et les perspectives sont aussi politiques qu’économique, juridique et stratégique, le fait qui rend difficile de l’observer sous un angle spécifique. Pour avoir un vue plus vaste sur les compostant et les fonctionnes de l’Organisation veut mieux faire une étude intégrale. La sécurité en tant que la ligne rouge qui touche tous les dimensions du travail à l’OSCE est vue comme l’objet de la protection, qui née aussi la coopération entre les entités en eux-mêmes et les tiers.
L’OSCE offre un forum pour le dialogue politique de haut niveau sur un large éventail de questions de sécurité ainsi qu’une plateforme d’exécution de taches concrètes visant à améliorer l’existence des individus et des communautés. Elle est un instrument régional ouvert à tous dont les activités, qui portent sur l’alerte précoce, prévention des conflits, la gestion des crises et la réhabilitation post-conflit, contribuent à résoudre les différences entre les Etats et à renforcer la confiance par la coopération.
CHAPITRE 1 : L’HISTORIQUE
La structure de chaque organisation reflète la voie de son engagement, qui est très évident pour l’Organisation de Sécurité et Coopération en Europe (OSCE). Auparavant l’organisation n’a pas une Charte déterminant sa mode de rattachement, ses règles et ses buts. Il a tout simplement commencé comme un rassemblement des représentants de 35 pays de l’Est, de l’Ouest et non aliénés à Helsinki en 1973, au moment quand l’Europe étais saisie par le Guerre Froide et n’étais pas prête pour les négociations de coopération. Au bout de deux ans quand la Conférence de la Sécurité et Coopération en Europe (CSCE) est terminée, de plusieurs accords ont été conclus parmi les participants non seulement sur un nombre des mesures de confidence militaire et de sécurité des capacités, mais aussi c’était décidé que les pays vont travailler en coopérant dans les domaines économiques, scientifiques, technologiques, environnementales, culturelles et humanitaire. Le large éventail des questions soulevées par l’Acte Finale d’Helsinki était sans précédent[2].
Forte de ses institutions spécialisées, de ses unités d’experts et de son réseau d’opérations de terrain, l’OSCE traite de nombreuses questions qui ont une incidence sur notre sécurité commune, notamment le contrôle des armements, le terrorisme, la bonne gouvernance, la sécurité énergétique, la traite d’êtres humains, la démocratisation, la liberté des médias et les droits des minorités. La sécurité concerne de nombreux aspects de notre existence. L’OSCE considère que la sécurité est globale et agit en intégrant en un seul ensemble ses trois dimensions: politico-militaire, économique et environnementale, et humaine. [3]
Section 1: Les Aspects interconnectés de la sécurité
L’OSCE s’efforce de renforcer la sécurité militaire en encourageant une ouverture, une transparence et une coopération plus grandes. Sous ses auspices, ses États participants ont élaboré le régime de maîtrise des armements et de mesures de renforcement de la confiance le plus élaboré au niveau mondial. Parallèlement, l’Organisation adopte une approche large de la dimension politico-militaire de la sécurité en mettant notamment l’accent sur des questions liées à la réforme de la défense et de la police, au stockage sûr et à la destruction des armes légères et de petit calibre et des munitions conventionnelles.
La prospérité économique étant une pierre angulaire de la sécurité, l’OSCE s’emploie à promouvoir la coopération économique et la bonne gouvernance dans une région qui englobe la plus grande partie de l’hémisphère nord. En outre, l’OSCE considère les questions environnementales comme un élément clé de la sécurité. Elle travaille avec les États participants en vue d’assurer une gestion rationnelle des déchets dangereux, de sensibiliser davantage aux problèmes de l’environnement et de favoriser la coopération en ce qui concerne les ressources naturelles partagées. Une sécurité durable n’est possible que si les droits de l’homme et les libertés fondamentales sont respectés.
L’OSCE aide ses États participants à renforcer les institutions démocratiques, à organiser des élections libres, équitables et transparentes, à promouvoir l’égalité des sexes, à assurer le respect des droits de l’homme, de la liberté des médias, des droits des minorités et de l’état de droit ainsi que la tolérance et la non-discrimination. Dans son approche de la sécurité, l’OSCE fait le lien entre les trois dimensions, ce qui la rend particulièrement efficace pour aborder les problèmes de sécurité « transdimensionnels », c’est-à-dire les menaces transnationales, notamment le terrorisme, la criminalité organisée, la cybercriminalité, le trafic de drogues et d’armes, et la traite d’êtres humains, qui exigent des réponses conjointes et durables.
Section 2 : L’OSCE en chiffres et les activités
L’OSCE s’efforce aussi de mettre en rapport différents acteurs intra et interétatiques et interrégionaux, notamment en renforçant les institutions locales, en établissant des partenariats entre les secteurs public et privé, et en travaillant avec la société civile. L’OSCE coopère étroitement avec d’autres organisations régionales et internationales. Reconnaissant que la sécurité dans la région de l’OSCE soit inextricablement liée à celle des régions voisines, l’Organisation coopère avec des pays partenaires dans la région méditerranéenne, en Asie et en Australie.
Le personnel et les ressources de l’OSCE sont déployés pour l’essentiel dans les opérations du terrain en Europe du Sud-est, en Europe de l’Est, dans le Caucase du Sud et en Asie centrale. Ces opérations sont établies à l’invitation des pays hôtes respectifs et leurs mandats sont approuvés par le consensus des États participants. Les opérations du terrain de l’OSCE permettent à l’Organisation de s’attaquer aux crises lorsqu’elles se déclenchent et jouent un rôle crucial après les conflits en contribuant à restaurer la confiance dans les communautés qui en sont victimes. Plus largement, elles renforcent les capacités de leurs pays hôtes par des projets concrets qui répondent aux besoins des États participants et de leurs sociétés, notamment des initiatives pour appuyer l’application de la loi, les droits des minorités, les réformes législatives, l’état de droit et de la liberté des médias. L’OSCE contribue également à établir des réseaux de spécialistes pour promouvoir l’échange des données d’expérience et de bonnes pratiques et conduire plus efficacement la lutte contre les menaces transnationales. Un certain nombre d’instruments ont été élaborés pour répondre à des préoccupations spécifiques. Par exemple, l’École des cadres de l’OSCE pour la gestion des frontières, établie à Douchanbé en 2009, vise à être un centre unique de transmission des connaissances sur les normes et les meilleures pratiques internationales concernant tous les aspects de la gestion des frontières. L’École assure la formation des cadres supérieurs en poste dans les services de gestion et de sécurité des frontières des États participants de l’OSCE et des Partenaires pour la coopération, et renforce la coopération et l’échange d’informations entre eux. Autre bon exemple, celui de l’Académie de l’OSCE à Bichkek, qui offre des bourses aux meilleurs étudiants d’Asie centrale, y compris d’Afghanistan, et qui, grâce à son programme de Masters et ses cours spécialisés, contribue à former la prochaine génération aux carrières du service public. L’OSCE s’efforce également de régler les conflits prolongés dans sa région dans le cadre des formats agréés, notamment les négociations au format « 5+2 », qui ont pour but de trouver un règlement politique global au conflit transnistrien, et le Groupe de Minsk de l’OSCE, qui recherche une solution négociée pacifique au conflit du Haut-Karabagh. Conjointement avec l’ONU et l’Union européenne, l’OSCE préside les Discussions internationales de Genève, lancées après le conflit qui a éclaté en août 2008 en Géorgie. Ensemble, les différentes composantes de l’OSCE aident les États participants à renforcer la confiance et à œuvrer en faveur d’une communauté de sécurité euro-atlantique et eurasienne, libre, démocratique, unie et indivisible.
Les chiffres
Le Budget (2012) : 148 millions d’euros. Personnel : 2831 personnes travaillent pour l’OSCE, dont la majorité – 2 283 – dans ses 16 opérations de terrain en Europe du Sud-Est, en Europe de l’Est, dans le Caucase du Sud et en Asie centrale. Le Secrétariat et les institutions spécialisées emploient ensemble 548 personnes. Les avis de vacances de postes sont régulièrement publiés sur le site de l’OSCE.
Les Activités
- Les missions de terrain : Comme déjà indiqué l’organisation emploie quelque 3000 personnes au sein de 19 missions et activités de terrain réparties en Europe de l’Est, du Sud-est, dans le Caucase et en Asie centrale. Le personnel de l’OSCE travaille « sur le terrain » pour faciliter les processus politiques, prévenir ou régler les conflits et promouvoir la société civile et l’Etat de droit.
- Observations électorales : Conformément aux engagements de l’OSCE, les Etats participants sont tenus d’inviter l’Organisation à observer leurs élections.
Universalité, égalité, équité, confidentialité, liberté, transparence et responsabilité sont les grands principes que les 57 Etats participants se sont engagés à respecter. Sur le terrain, ces experts ont pour mission d’observer l’ensemble du processus électoral : organisation administrative, campagne politique, couverture médiatique et questions de droits de l’homme.
« La conférence a prouvé d’être une école utile pour la politique internationale pour les états participants-particulièrement utile pour nos jours ou des moyennes immenses de destruction et anéantissement existent. Une forte impulsion portée par les leaders des 35 états participants à la Conférence a l’intention d’aider chacun dans et au bord de l’Europe » Léonide Brezhnev, Secrétaire General du Comité Central de la partie Communiste de l’Union Soviétique Socialiste des Républiques. [4]
Section 3 : Les Trois Dimensions de l’OSCE
Tel que son nom l’indique, l’objectif de cette organisation internationale est d’assurer la sécurité à travers la méthode de la coopération, défini autour des trois dimensions. Elle aborde la sécurité dans une approche globale, «comprehensive security», c’est-à-dire répartie en trois dimensions
1. la dimension politico-militaire:
2. la dimension économique et environnementale: a été délivré une nouvelle impulsion par l’adoption du Document Stratégique de l’OSCE pour la dimension Economique et Environnemental en 2003 à Maastricht. Au Conseil Ministériel à Sofia en 2004, les Etats participants ont décidé d’augmenter l’efficacité du Forum Economique. Qui après étais renomme en 2007 le Forum Economique et Environnemental.
Les travaux de l’OSCE dans la dimension économique et environnementale de la sécurité portent sur des mesures de confiance économique, sur la prise en compte de l’impact économique de la traite des êtres humains, sur le traitement de déchets toxiques et radioactifs, comme sur la mise en place de projets de gestion des bassins d’eau à l’échelle régionale.
Les activités de cette « deuxième dimension » sont coordonnées par le Bureau du Coordinateur des activités économiques et environnementales au Secrétariat de l’OSCE.
La prospérité économique étant essentielle à la stabilité, l’OSCE se concentre sur la promotion d’un milieu économique sain dans ses états participants, travaillant dans des domaines comme: le lutte contre le blanchiment de capitaux et contre le financement du terrorisme, la promotion d’une bonne gouvernance, l’appui au développement et à la sécurité du transport, l’assistance à la gestion de la migration, la promotion de la gestion intégrée des ressources d’eau, l’appui à l’élimination de déchets dangereux, la mise en œuvre de l’Initiative pour l’Environnement et la Sécurité (ENVSEC), la promotion et l’appui au dialogue pour la sécurité de l’énergie.
3. la dimension humaine.
CHAPITRE 2 : L’ASPECT ECONOMIQUE DE L’OSCE
“Les pays font face aux problèmes similaires. Ils ont besoin de créer un environnement de l’entreprenariat qui créera des emplois avec des salaires plus élevés. Le but du projet de Guillotine est d’améliorer les capacités de compétitions du pays, d’être intéressant aux investisseurs, aux hommes d’affaires, de supporter les entrepreneurs qui sont un véritable atout pour le pays.
A mon avis l’Arménie est dans une bonne position parmi la plupart des pays de Caucase pour continuer à s’avancer. Chaque pays doit commencer de quelque part. Il est plus important pour moi de savoir ou va finir le pays, et pas le fait d’où il commence. D’après moi l’Arménie va arriver de finir dans une bonne position”.[5]
La prolifération des conflits en Europe comme la suite de la fin de la Guerre Froide a créé de nouveaux défis et d’opportunités d’une grande complexité pour les institutions intergouvernementales et nationales qui traitaient des aspects économiques et environnementaux de la sécurité. Durant les années 90s un équilibre des relations multilatérales ou bilatérales entre les états européens, les Etats-Unis et l’ex URSS s’est assuré des changements des contextes politiques et socio-économiques non prévu se sont assurés [6].
D’après les institutions observatrices le domaine économique et environnemental est reconnu le moins développée parmi les trois dimensions. Même une telle institution de l’OSCE comme l’Assemblée Parlementaire a reconnu le développement insuffisant des activités de l’OSCE dans ce domaine. L’image est unique en Asie Centrale, au Caucase et aux Balkans. Il est plus intéressant de mettre en cause le fait de refus des états participants d’agrandir le cadre réservé aux problèmes économiques et environnementaux. Un premier raisonnement vient de l’histoire depuis la CSCE.
La dimension économique et environnementale faisait partie d’un 2e pilier dans l’Acte Finale d’ Helsinki (1975) ou à l’époque les états participants s’étaient divisés en deux blocs antagonistes. Un motif qui a beaucoup fariné les capacités de l’OSCE à arriver d’énumérer une vaste quantité des objectives dans l’Acte Finale d’Helsinki. Le document du Conférence de Bonn (1990) et la Charte de Paris pour une nouvelle Europe (1990) étaient des véritables monuments dans l’évolution de cette dimension, notamment dans la matière du marché de l’économie, liberté d’une entreprise individuelle, protection d’une propriété privée, la liberté économique, justice sociale et la responsabilité environnementale. Des années après l’indépendance des pays de l’Asie Centrale on se demande pourquoi est-ce que la dimension économique dans ces régions se trouve dans une situation primaire, en comparant avec d’autres dimensions de l’OSCE. La réponse principale est plutôt politique. Certains pays surtout de l’Union Européen juge la raison d’être basée dans la dimension humaine et non économique ou environnementale. …La nouvelle division de l’engagement de l’OSCE vis-à-vis la dimension économique dans ce domaine. Ce sont probablement les raisons pour la dimension économique et environnementale d’être la plus pauvre à l’OSCE. Ayant un but de remplir des objectives, très souvent, des financements extrabudgétaire sont indispensables.[7]
Selon des recommandations de l’Assemblée Parlementaire, les missions de l’OSCE aient un mandat double dans la dimension économique et environnementale :
- En reportant toute alerte de la terreur de sécurité en liaison avec des croissances économiques et environnementales du siège et
- En facilitant des tensions pour l’engagement des projets.
La Dimension Economique et Environnementale
Les aspects économiques est environnementaux ont fait toujours partie de l’agenda de l’OSCE. Les évènements précoces sont le Forum Scientifique à Hambourg en 1980 et la Réunion pour la Protection de l’Environnement à Sofia en 1989. Un évènement pour marquer la fin de la Guerre Froide était la Conférence sur la Coopération Economique à Bonn en 1990. Une création du Coordinateur des activités économique et environnementale a été fondée en 1997, avec un Bureau au Secrétariat.
Conférence de la Coopération Economique et Environnemental de Bonn (1990)
Une étape importante dans l’évolution de la dimension économique et environnementale était la Conférence sur la coopération économique en Europe, tenue du 19 Mars au 11 Avril en 1990 à Bonn. Convenue par le but de discuter la coopération entre l’Est et l’Ouest, la Réunion a changé son agenda quand le système économique des pays de l’Est s’est d’un coup désintégré. Les états participants ont exprimés leur consentement pour les principes du marché de l’économie et se sont mis d’accord sur un nombre des principes importants :
- la politique fiscale et monétaire qui promeuve une augmentation équilibrée, durable de l’économie en améliorant la capacité des marches pour une fonction plus efficace ;
- des politiques internationales et régionales ayant pour but la libre circulation des biens, des capitaux, des investissements et rapatriement des profits dans les monnaies convertibles ;
- un marché libéral et compétitif ou les prix sont basés sur la demande et l’offre ;
- des politiques qui promeuvent une justice sociale et qui améliore les conditions d’habitations et du travail ;
- une croissance et développement économique d’un environnement durable ;
- une reconnaissance totale et protection de tous les types des droits des citoyens incluant le droit de propriété privée et le droit des citoyens de les posséder et utiliser ;
- un contacte directe entre des consommateurs et des livreurs pour faciliter les échanges des biens et des services parmi les compagnies privées ou étatiques et les individus des marchés domestiques ou internationales.
Le Forum Economique et Environnemental
Le Forum Economique et Environnemental se réunit chaque année et amène 450 représentants des Etats participants ensembles, la communauté d’affaire, l’académie et la société civile. Le Forum sert une plateforme pour des dialogues des problèmes courants et lui-même formule des recommandations. Les séminaires préparatoires se concentrent sur les problèmes et les thèmes de discussion au Forum Economique et Environnemental qui unissent des experts internationaux des champs relevés. Des séminaires sont visités par des représentants de l’OSCE des pays participants, des Partenaires Méditerranées de Coopération (Algérie, Egypte, Israël, Jordanie, Maroc, Tunisie), les Partenaires Asiatiques de Coopération (Afghanistan, Japon, République de Corée, Mongolie, Thaïlande) et des Organisations non gouvernementales.
Le 30 Janvier 1992 à la Réunion des Ministères des Affaires Etrangères de la Conférence pour la Sécurité et la Coopération en Europe (CSCE) à Prague une décision d’établissement du Forum Economique annuel a été prise, pour concentrer le focus de la CSCE sur le développement de l’économie des libres marchés étant un seul aspect à la construction de la démocratie. Jusqu’au 2006 le Forum Economique a été tenu dans le contexte de la Réunion du Comité des Officiers Seigneurs (renomme ’’Conseil Seigneur’’ en 1994, dissolu en 2006).Depuis 2006 le Forum a été tenue en 2 partie à Vienne (Autriche) et à Prague (République Chèque) . En 2007 ce dernier a été renommé le Forum Economique et Environnemental qui reflète la grande importance des problèmes de la sécurité environnementale tel que la dégradation des terres et le control des ressources d’eaux.
L’accent principale du Forum Economique et Environnementale de l’an 2012 c’est la Meilleure Gouvernance Economique, qui est un point un des plus important de la 2e dimension. Des thèmes de transparence et d’une meilleure gouvernance économique ont été sur la table de discussion en 2001 dans le cadre du même Forum. Ici l’OSCE a un rôle de promoteurs des standards de la Meilleure Gouvernance Economique qui comprend aussi la Convention des Nations Unies contre la corruption et les recommandations du groupe de travail d’action financière.[8]
Le document stratégique de la Dimension Economique et Environnementale
L’accroissement de l’intérêt porté à la deuxième dimension a été ultérieurement illustré dans le Conseil Ministériel du Maastricht en Décembre 2003, ou après un an de négociation les états participants ont adoptés le Document Stratégique de l’OSCE pour la Dimension Economique et Environnementale (2e Dimension). Ce dernier réaffirme l’importance substantielle de la dimension économique et environnementale dans le concept de l’OSCE pour la sécurité compréhensive et la coopération et son rôle dans l’alerte précoce, prévention des conflits, la gestion des crises et la réhabilitation post-conflit rappelant les principes de l’Acte Finale d’Helsinki 1975. Le Document Stratégique est devenu guide pour la deuxième Dimension.
Une approche triple de l’Organisation au sens de la 2e dimension
- Elle sert une plateforme pour des dialogues régionaux, d’échange d’information et expérience
- Elle support des activités de formation et du renforcement des capacités sur les problèmes telles que la prévention de corruption, la transparence et la participation de la société civile, la contre blanchiment d’argent, la lutte contre le financement du terrorisme à travers des évaluations nationales des risques
- Elle fournit des guides et des mécanismes via ses publications, comme par exemple «Le Guide de l’OSCE des Meilleures pratiques en Combattant la Corruption» qui est vastement distribué et traduit en plusieurs langues étant encore utilisés comme une base de matériel de formation de base.
CHAPITRE 3 : LE BUREAU A EREVAN
Établi par la décision 314 du Conseil Permanant (le 22 Juillet 1999) le Bureau de l’OSCE à Erevan ouvert s’est ouvert en 2000 et depuis arrive de réaliser un nombre important des activités, des projets et des initiatives exercées par une bonne coopération avec les autorités arméniennes. Les priorités de l’OSCE sur place restent toujours la stratégie de la lutte contre la corruption, les reformes électorales, la surveillance des droits de l’homme et ses libertés fondamentales, l’amélioration du milieu d’investissement, le projet de l’assistance à la police, les activités contre-terroriste et des mesures contre le trafic.
Le Mandat
Le bureau d’Erevan a un mandat très vaste pour ’’promouvoir l’exécution des principes et des engagements de l’OSCE, ainsi la coopération de la République d’Arménie dans le cadre de l’OSCE, dans tous les dimensions de l’OSCE, incluant celle d’humaine, de politique, d’économique et environnementale, des aspects de sécurité et de stabilité’’. Ce bureau est lié avec d’autres corps locaux ou internationaux de l’OSCE. Son mandat ne se chevauche pas avec celui du représentant personnel du Président en Exercice de l’OSCE sur des Conflits Traites par la Conférence de Minsk de l’OSCE qui représente le Président en Exercice dans les affaires liées au conflit d’Haut-Karabakh.
Les Activités Soulignées
Le Bureau a été largement engagé d’encourager des pratiques de démocratisation et de bonne gouvernance en Arménie, premièrement facilitant les reformes législatifs pour l’intégration future dans les standards internationaux en respectant les engagements de l’OSCE. En particulier le Bureau a assisté aux reformes Constitutionnels, à l’amélioration de Code électorale et la législation pour l’institut d’Ombudsman ainsi que d’autres reformes dans les domaines de liberté des medias, liberté de rassemblement et de religion, de justice criminelle et contre trafic. Pour favoriser un procès effectif et législatif le Bureau tiens un programme d’entrainement pour le personnel de l’Assemblée Nationale.
En établissant d’un bureau régional à Kapan, province de Syunik en 2006, était une opportunité pour le bureau de dévaster et intensifier ses efforts régionaux, surtout en favorisant des moyennes et petites entreprises et la protection environnementale. La conscience environnementale et la participation à la prise de décisions sont aussi supportées par l’aide des centres publics de l’information environnementale que le bureau a aidé d’établir partout en Arménie en accord avec les principes de la Convention d’Aarhus.
Le bureau support l’initiative environnemental et sécuritaire (ENVSEC) un partenariat commun entre l’OSCE, le Programme de Développement des Nations Unies, le Programme Environnementale des Nations Unies, le Comité Economique des Nations Unies pour l’Europe, le Centre Régional de l’Environnement et l’OTAN. Le combat contre la corruption c’est un autre domaine ou l’OSCE a montré une assistance en supportant l’exécution d’une stratégie gouvernementale qui encourage la participation de la société civile.
L’encouragement au respect des droits et les libertés de l’homme en Arménie, le Bureau fournit l’institut de l’Ombudsman, la Chambre des Avocats et le Bord de la surveillance publique des institutions pénitentiaires par des entrainements et des opportunités d’échange des expériences.
Les activités entreprises par le Bureau de l’OSCE d’Erevan
- En matière de Politico-Militaire
Contribution des changements dans la structure d’application de la loi arménienne
- En matière de d’Economie et de l’Environnement
Participation de la société civile à la formation de la politique économique
des organisations, le Bureau d’OSCE à Erevan a fourni de l’aide pour la préparation et dissémination d’un guide de Méthodologie sur la Gouvernance Corporelle, une brochure explicative du développement de la stratégie des Petites et Moyennes Entreprises.
- Atténuation de l’impact de la crise économique
- Création de la classe moyenne stable
- Stimulation des libres compétitions
- Simplification des procédures des taxes et de douane
- Par apport aux problèmes environnementaux l’assistance de l’OSCE a augmenté la participation de la publique et sa transparence dans la prise des décisions
En matière de Démocratisation
- Reformes Judicaires
- Réforme de la législation et la régulation de media
- Lutte contre la traite
- En matière des Droits de l’Hommes
Support au Bureau du Défendeur des Droit de l’Hommes en Arménie[9]
PARTRIE II : LA GUILLOTINE REGULATRICE |
La Guillotine Régulatrice est une méthode flexible qui est spécialement désignée par une séquence précise à produire de bons résultats même là où la résistance est très haute. Essentiellement ce sont des moyens de revue rapide d’une quantité importante des régulations en éliminant ceux qui ne sont plus demandées ou nécessaires. Cela compte des régulations existantes après quoi elle les revue contre un critère clair, en utilisant un procès transparent et d’ordre construit sur les commentaires des intervenants. Les bases du travail de Guillotine sont les suivantes[10]:
- 1. Le Gouvernement établi la portée de Guillotine, c’est à dire définie précisément les types d’instruments régulateurs ainsi que les corps régulateurs qui devront être inclus.
- 2. Le Gouvernement adopte un instrument légal-souvent un décret ou une loi- qui lance le projet de Guillotine, son agenda, ses institutions.
- 3. Le Gouvernement crée un corps de Guillotine au centre du Gouvernement qui dirige le déroulement des réformes et réalise une revue indépendante
- Dans le procès de Guillotine chaque régulation doit être justifiée contre les critères de bases. Cela veut dire que la régulation est à régulateur de défendre et justifier le non élimination de cette dernière. Les trois critères typiques sont : est-elle légale la régulation ? Est-ce qu’elle est demandée pour les futurs besoins de la politique ? Est-ce qu’elle est favorable aux entrepreneurs ?
- La régulation passe 3 étapes de revue- par des Ministères eux-mêmes, par les intérims, par le registre électronique qui améliore la sécurité légale et sa transparence. Dans chaque revue les règles, non nécessaires, dépassées, complexes et non légales sont identifiées.
- 6. Les recommandations finales sont envoyées par le Corps Central en un seul paquet de réforme au Gouvernement ou au Parlement pour l’adoption
- Les régulations survies sont placées dans la base électronique compréhensive qui améliore la sécurité légale et sa transparence.
Loin d’un quotidien non régularisé nous vivons des âges d’or des régulations[11]. De la protection environnementale jusqu’à la protection des consommateurs, a la sécurité, la santé, les standards des travailleurs et les règles la justice sociale, en tant qu’une opportunité égale, aucune activité gouvernementale des pays de l’OCDE[12] n’est développée tellement vite que les actions régulatrices du gouvernement depuis les années 1980s. Même sous l’administration de Reagan et Thatcher- des croisades du non régulation quintessentiel- la quantité des régulations était mesurée dans les nombres des règles et la coupe de ses longueurs pour les deux pays ; les Etats-Unis et la Grande Bretagne. D’où les contraintes réglementaires sont plus strictes. Les standards régulateurs ne sont jamais été assez hauts dans les pays développés qu’ils sont aujourd’hui.
Le nombre et la portée du gouvernement au sens des régulations (régional ou international) a notamment augmentée tellement rapide dans presque tous les pays de l’OCDE que le terme « d’inflation régulatrice » a été utilisé par l’OCDE dans les années 1990s. Dans la sphère économique on voit aussi une augmentation des régulations. Une chose est importante est à retenir, comme les régulations du marché par le gouvernement tentent d’être pro-compétitive en remplaçant des procédures plus chères, plus complexes et moins efficaces.
Pour notre actualité le vrai défi de la politique ce n’est pas la résistance aux programmes sans aucune racine conduite par les marchés, mais au contraire, c’est la puissance du control de qualité, de la transparence et l’efficacité de l’état régulateur. Ce genre des régulations et institutions vont servir au développement socio-économique.
Les meilleures pratiques de réforme régulatrice dans les derniers cinq années étaient réalisées au Corée du Nord, en Mexique, en Ukraine, en Croatie, au Vietnam etc.[13]
A propos de cela un expert du niveau international, reconnu meilleur dans la sphère d’activités, qui étant un économiste de base, a pu réaliser des projets pareils dans le monde entière, Mr. Scott JACOBS, qui est un consultant professionnel des reformes régulatrices, ayant le but de réduire le taux de corruptions, les lacunes législatives, et qui réalise en même temps une évaluation des impacts des couts. L’OSCE, en tant que le coordinateur des donateurs s’est chargée d’emmètre un contrat du fournisseur unique a «Jacobs, Cordova & Associates », par une lettre d’exception pour le Projet qui promeuve la bonne gouvernance économique et la sécurité économique à travers d’une Reforme Régulatrice. A propos de quoi le dernier a reconfirmé d’avoir en sa possession la connaissance, les capacités, les facilites et le personnel pour être capable de fournir le service. A mon propre intérêt, quand même j’ai réalisé un recherche détaillée des partenaires équivalents qui ont une spécialisation dans le domaine des reformes régulatrices.
Reforme Régulatrice aux quatre pays de l ‘OCDE
- Aux Pays-Bas, les reformes régulatrices ont joué un rôle important dans la modernisation et le bien-être de l’Etat et l’intégration dans le marché européen. Au début des années 1990s le gouvernement néerlandais a lancé un nouveau équilibre entre la protection et le dynamisme, en se basant sur la politique des compétitions, la reforme régulatrice et les marches ouverts. Simultanément l’économie a fait face à des nouvelles difficultés en achèvement dans les limites du marché unique européen, à cause des dérégulations des infrastructures des secteurs, de la mondialisation croissante etc.
- L’économie mexicaine fortement règlementée et défendue il y a une dizaine d’années, se représente aujourd’hui comme l’une des plus ouvertes et axée sur le marché. Le rythme dynamique, la large portée et la profondeur des reformes régulatrices en Mexique dépasse celles de majorités des pays de l’OCDE, qui est en comparaison avec des marches des pays de l’Europe de l’Est récemment rejoint a l’OCDE. Le rôle des cadres réglementaires internationaux en Mexique étaient extrêmement important.
- Les Etats-Unis sentent encore des problèmes règlementaires. Par contre on parle de l’économie la plus innovée, flexible et ouverte de l’OCDE, en maintenant la sécurité, la santé, l’environnement dans les standards relativement élevés. Ce n’est pas une cause d’une aveugle dérèglementation, au contraire, c’est parce que la règlementation américaine s’est basée sur deux types fondamentaux des régulations ayant le but de supporter le dynamisme économique et l’ajustement du marché.
- Les reformes règlementaires au Japon étais proéminant sur l’ordre du jour de la politique japonaise, depuis le gouvernement de Hosokawa a promu la dérégulation comme la clé de la reprise économique en 1994, qui en même temps l’élément central d’une vaste réforme de la réglementation économique lancée depuis1996. Les buts de la réforme réglementaire étant très ambitieuses comprennent l’achèvement de se déplacer d’une modèle d’accroissement dirigé par l’état à une modèle d’accroissement dirigé par le marché.
CHAPITRE 1 : LA GUILLOTINE EN ARMENIE
Par l’aide de consortium multi-donateur qui inclue, le Gouvernement arménien, le Bureau de l’OSCE à Erevan, la branche régionale de la Banque Mondiale, la représentation des NU, le Représentant Résident de PNUD, l’USAID/Arménie et l’Agence Autriche du Développement, le Gouvernement de la République d’Arménie a lancé une programme des reformes législatives systématiques pour améliorer sa compétitivité nationale et augmenter des investissements étrangers.
Une lettre d’intention a été signée à Erevan, le 3 Novembre 2011 entre le Gouvernement de la RA, l’Agence de la Coopération Autrichienne pour le Développement, le Bureau d’Erevan de l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (l’OSCE), le Bureau régional de la Banque Mondiale en Arménie, L’agence des Etats-Unis pour le Développement International (USAID) en Arménie, le Bureau du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) en Arménie. Ayant le but de promouvoir une meilleur gouvernance économique dans la République d’Arménie par le support d’exécution d’une Exercice Rapide de la Simplification Régulatrice (le Guillotine Régulatrice).
Pour garantir le succès de cette réforme assez sensible et importante une équipe d’experts spécialisée au niveau international sont demandés.
Apres des consultations avec les parties prenantes gouvernementales et internationales ainsi que d’après la performance d’un revu des entreprises internationales dans le domaine, le Bureau de l’OSCE à Erevan a conclu que “Jacobs, Cordova and Associates” est la une et seule entreprise qui peut effectuer les taches incluant le développement d’un programme de système spécialisé (e-Guillotine software) dans les délais demandés par le Gouvernement de la République d’Arménie.
Mr. Scott JACOBS est une autorité mondial en tête, un maitre des Reformes Régulatrices dans presque 80 pays, dont l’entreprise dispose le droit pour la marque déposée de “Guillotine” qui est une approche des reformes, des méthodologies et le système e-Guillotine avec sa propre curriculum d’entrainement qui est déjà testé avec succès dans 10 pays.
Pourquoi l’Arménie ?
Aujourd’hui l’Arménie qui ne compte que 28,000 m/q du terrain est un pays avec ses spécifiques problèmes socio-économiques et politico-militaire au sens interne ainsi qu’international.
Comme pour la plupart des pays de l’Empire Soviétique la chute de l’URSS a joué un rôle anéantissant, ainsi que pour l’Arménie, qui en même temps de sa proclamation d’Independence nationale en 1991, étais déjà en guerre avec l’Azerbaïdjan entre les années 1988-1994(plus connu comme la Guerre de Haut-Karabakh) et étais dans un blocage économique.
Les dernières années, par l’aide de la communauté internationale et le support fort du Diaspora Arménien on voit une nouvelle inertie dans son développement social et économique. Néanmoins les efforts, une grande majorité des problèmes (pauvreté, chômage, corruption) restent encore non résolues. Les leaders du pays font appel à la communauté internationale pour résoudre ces genres de problèmes.
Le pays a su beaucoup de progrès dans le développement de l’économie nationale, surtout en 2013 l’Arménie a amélioré sa place dans le classement annuel de Doing Business[14], un projet de la Banque Mondiale, qui a augmenté de la 50e place à 32e. Par contre ce n’est pas du tout suffisant pour un pays qui est géographiquement mal située entre deux pays ennemis (la Turquie et l’Azerbaïdjan) ayant des frontières fermées, ou les seules connexions routières passent par la Géorgie et l’Iran et aussi par la voie aérienne.
Un autre majeur problème qui ralentie le développement entier du pays c’est la corruption qui touche tous les secteurs d’activité de la vie social sans aucune exception. Contrairement aux efforts du gouvernement de lutter contre ce phénomène grave il y a peu de progrès. C’est ici que le pays s’adresse aux Organisations Internationales ayant des moyens de lutter contre ce parasite. Ayant un désire pour le développement économique le Gouvernement arménien a fait appel à un fort support pour des réformes fondamentales.
Pourquoi l’OSCE un coordinateur des donateurs ?
L’engagement de l’OSCE dans le projet était accordé avec son principe rattaché à une meilleure gouvernance économique pour l’année entière destiné à la 2e dimension, celle des Activités Economique en Environnementale de l’OSCE.
Par la demande du Gouvernement de la RA, des représentants de ce dernier et le Bureau de l’OSCE à Erevan se sont mise en travail pour la recherche du financement en participant aux différentes négociations bilatérales et multilatérales, ou un montant d’environ 2.000.000 Euros étais mise en donation par les donateurs participants au projet. Le format de participation n’avait aucune cadrage qui a donnée beaucoup de flexibilité aux donateurs de bien décider quelle tranche du programme souhaitent-t-ils financer. On peut, enfin constater que la partie des négociations était un succès, pour le projet.
Section 1 : La cible du projet et les conséquences
Un but particulier de cette réforme est de promouvoir les investissements étrangers. L’Arménie est sur régularisé avec plus de 25,000 des normes légales dans les livres du niveau national, qui sont rajoutées chaque semaine. La plupart de ces normes sont assez sensible et bien structurée, mais qui se contredit, sa complexité affecte les entrepreneurs et les citoyens, étant un motif décourageant pour investir en Arménie.
Les meilleures pratiques vont être utilisées par l’intention du Gouvernement de la République au niveau national de voir, rationaliser les travaux qui affectent les activités des entreprises en facilitant la vie des citoyens. Les buts principaux du projet sont :
- Réduction substantielle des couts et des risques des régulations qui affectent les entreprises des citoyens, qui en effet simplifiera ou éliminera les règles et régulations non nécessaires, réduisant simultanément des risques de corruption les instabilités de l’entrepreneuriat, résultant des procédures complexes et discrétionnaire.
- Améliorer l’efficacité en délivrant des services régulateurs par le secteur public
- Construire des capacités durables dans le Gouvernement.
Que peut-on attendre du projet ?
La simplification ou élimination des règles et des régulations non nécessaires amènera à une réduction des risques de corruption et des incertitudes en entreprenariat, qui résultent des procédures compliquées et discrètes. Le programme nommé la Guillotine Régulatrice a fondé une Centre Nationale des Reformes Législatives (CNRL) ou se sont réuni des experts de haut-niveau avec différents domaines de spécialisations, qui compte aujourd’hui 24 professionnels, mais a déjà l’intention de s’élargir vue la quantité du travail à effectuer.
Section 2 : Le Centre National des Reformes Législatives
Les 24 spécialistes, de haut niveau, de différents sphères d’activités ont la responsabilité de revoir les actes légales, ainsi que étant compétant de mettre en question la légitimité de l’acte légale, l’éliminer, effectuer des réductions des couts, présenter des propositions aux actes.
Le travail dans le CNRL est divisé en petites équipes qui dans un délai prévu par le planning, doit revoir tel ou tel secteur d’activité du projet, en présentant des changements, éliminations, des propositions aux actes légales.
L’entrainement de l’équipe est un point critique du projet dont dépend le succès du dernier. Les experts en tête avec Mr. JACOBS sont des professionnels ayant leurs success stories and best international practice qu’ils sont heureux de communiquer avec l’équipe.
L’équipe du Centre fait souvent face à des problèmes uniques, typiquement pour la région et le pays, où il nécessite avoir des consultions avec des experts internationaux, qui sont toujours disponible de communiquer avec eux en distance, hors les missions prévu sur place.
Section 3 : L’e-Guillotine[15] lancé en Mai 2013
Des Reformes Régulateurs sont moins couteuses avec des solutions de la Guillotine. L’eGuillotine est une solution du Control de Système de Portail de base web possédant d’un pouvoir pour la Guillotine Régulatrice avec des capacités de contrôle de procès, des documents et le contenu. Le system est une source ouverte programmée par un support multi langue. Le system possède d’une flexibilité de haute niveau pour faire face aux demandes des différents systèmes légaux, d’organisation et des structures des projets qui est un point critique pour contrôler les procès, la flux efficace des documents dans des différents environnements ainsi assurant la transparence du projet de Guillotine Régulatrice.
Pour un projet assez sensible tel qui est la Guillotine qui traite une dizaine de milliers des documents et d’autres informations ou la solution de l’eGuillotine offre des équipes et des Project Managers avec des instruments pour un control et exécution efficace des procès du projet, pour une archivassions appropriée des documents et d’information dans des formats différents en assurant la transparence vers la publique par l’aide d’un système totalement intégré par le contenu du control de system.
Le logiciel de l’eGuillitone est développé depuis l’approche utilisée en Croatie en 2008 qui est effectivement utilisée pour supporter les reformes régulateurs en Egypte et au Vietnam. Le logiciel est la marque déposée conjointement appropriée par Jacobs et les Associées et VAPS de Croatie, dont le droit d’auteur appartient au VAPS.[16] Le system a été officiellement lance en Mai 2013 ou chaque citoyen peut avoir aces ayant la possibilité de communiquer avec le législateur ou l’équipe de CNLR de souligner une lacune ou envoyer un commentaire concernant l’acte légal.
CHAPITRE 2 : LES ACTIVITES
Section 1 : Participations
- Par un règlement interne Vendredi matin à 09:15 se tiens la réunion du personnel du Bureau de l’OSCE à Erevan gérée par l’Ambassadeur ou en cas de son absence par le chef de la Mission.
Les stagiaires ne sont pas autorisés de participer aux réunions, sauf par l’autorisation du superviseur. Tenue par une grande importance du Projet qui encombre presque tous les domaines d’activités qui réalisent le Bureau d’Erevan, et l’importance des sujets élevés pendant les réunions, mon superviseur a fortement insisté a ma participation aux réunions. La première fois il m’a présenté et a demandé a son Excellence Monsieur l’Ambassadeur de me donner la parole. Pendant les deux premières réunions c’étais assez difficile de s’organiser et parler d’une manière structurée de mes taches accomplies, mais après j’ai pu a m’organiser et parler facilement devant mes collègues en répondant a leurs questions, parce que le projet est vraiment dans le centre de leurs attentions.
- Le lancement du système e-Guillotine, qui est dès à présent le seul moyen d’introduire des actes légaux dans la base juridique sur internet, créant un sort d’intranet entre la publique, le législateur et le secteur privé, pour que la communication soit facile, accessible pour tous et efficace, nécessite des travaux pratique avec l’équipe de CNRL ou j’étais fortement recommandé de mener ma participation. Les travaux pratiques et des conférences se sont organisées dans le Centre de manière régulière, pour garder le contact entre l’équipe et les experts internationaux qui sont en coopération au long de toute durée du projet. Cela inclus aussi Mr. Scott JACOBS, ayant déjà présenté, l’un des experts exceptionnels dans la sphère des Reformes Régulatrice au monde, qui a déjà sur son compte de plus de dizaines de reformes couvrant la géographie de Mexique a l’Italie, de Croatie au Vietnam.
Les travaux se sont organisés de manière régulière pendant les missions des experts en Arménie, qui sont normalement prévu chaque deux mois, en gardant le contacte de jour à jour sur internet avec l’équipe du Centre.
- Les questions organisationnelles, programmatique sont au début discutées auprès du Premier Conseillée du Ministre de l’Economie entre l’OSCE en tant que coordinateur des donateurs et d’autres donateurs intéressés, le Directeur du CNLR. Des questions tangibles sont mises en agenda et parfois il a fallu trois semaines pour pouvoir arriver à un consensus sur une ou autre question. Les réunions n’ont pas une forme régulière, mais sont invitées des qu’il y a une telle nécessité.
- Présidée par le Premier Ministre et tenues chaque deux mois les questions d’une grande importance (des questions sensibles, programmatiques etc.) sont incluses dans l’agenda. Par l’invitation du PM tous les sessions du Conseil des Reformes assistent tous les Organisations donateurs du Projet, ayant une opportunité de voir les responsabilités acquises, les taches accomplies par le projet, ainsi demander plus d ‘information, ou présenter leurs mécontentement a tel ou tel issue. Le Conseil invite aussi les Ministres des sphères appropries ou vont être discuté le dossier des propositions menée dans l’ensemble des actes légales.
Ma part de participation au Conseil tiens une forme organisationnelle, de prise des notes, préparation des minutes des réunions.
- Ayant déjà parlé des différents types et niveaux d’engagements des Organisations dans le projet, qui est peut-être la clé du succès du projet, on a pu amener une certaine flexibilité a ce dernier, notamment par l’organisation des consultations publiques dans les régions (marz en arménien). Le projet a un but pertinent d’encombre plus de publiques et d’audience possible, pour une. Par ma propre demande j’ai pu aussi participée à une des consultations publique organisée dans la ville de Vanadzor avec le reste de l’équipe du CNRL. Apres la courte présentation de l’activité du Centre et le Projet de la Guillotine, le travail s’est divisé en trois piliers, pour les négociations des différents problèmes présentés dans la région et dans la ville. Le résultat était hallucinant ; plus de cinquantaines de propositions étaient mise en évidence qui était enregistrées sur la liste des propositions pour pouvoir être utilisés dans les actes légales. Comme déjà a relevé Mr JACOBS, l’existence de ce type de problèmes, qui comprends le contacte important avec de différents représentant de la société ainsi que des professionnels d’un tel ou tel sphère pour être capable de parler des problèmes qui les membres du Centre ne seront jamais capable d’enlever parmi les phrases et les mots des actes légales, ce sont plutôt des règles non écrits qui sont en circulations dans chaque sphères a part ou il y a l’existence d’un marché noir, des joueurs non identifiée, mais qui font la partie de la chaine complexe de l’administration. La projection de Guillotine ayant déjà réalisée par des différents moyens de media, internet, articles etc. a pu conquérir les proches régions et la capitale, mais pour ceux qui sont assez loin de la communication et qui manque d’information, l’organisation d’un tel évènement aux sujets très importants étais crucial. Pour augmenter le taux d’intérêt de la population dans les problèmes levée et des solutions maintenu les consultations se sont tenues d’une manière organisée et divisée entre les membres de l’équipe dans 5 régions choisies par les experts de PNUD Arménie.
Apres la demande de la relance de la 2e phase du projet personnellement de la part du Premier Ministre de la RA, le Bureau de l’OSCE à Erevan s’est pris des mesures pour trouver du financement du 2e volet du projet. A ce but là un déplacement s’est organisé entre le 08-10 Juillet 2013 à Vienne/Autriche, au Secrétariat de l’OSCE. L’équipe composée des membres du Gouvernement arménien y compris le 1e Conseillé Economique auprès du Président de la RA, le 1e Député Ministre de l’Economie de la RA, le Directeur du CNRL et de trois représentants du Bureau de l’OSCE à Erevan (le Député, Chef du Bureau, l’Officier-Suppléant de la dimension Economique et Environnementale, l’Assistante du Projet) avait un but principal de faire un bilan et rapport sur l’avancement du projet et voire la future de son extension.
Le projet est déjà reconnu comme une meilleur pratique et une histoire du succès dans le domaine, qui a une importance crucial pour la 2e Dimension, celle des Activités Economiques et Environnementaux, comme elle a plutôt un rôle artificielle dans l’Organisation, vue qu’elle est plutôt politique qu’économique. Il y a même d’autre pays membres de l’OSCE qui sont intéressés de relancer le projet dans leur territoires d’activités.
La préparation de la documentation visuelle étais opérée par le Bureau de l’OSCE à Erevan avec les documentations, rapports présentés par le Centre des Régulations Législative, qui après étais distribuées aux délégations.
Une courte présentation d’une dizaine de minutes s’est maintenue pour chaque délégation, suivis par des questions, commentaires, échanges des idées etc.
La prise des notes, et le commentaire des conversations, les procès-verbaux des réunions étaient les tâches principales pendant les rendez-vous. Le déplacement a déjà donné ces effets car l’Organisation a eu un support de différents délégations espérant d’avoir une coopération successive.
Section 2 : Les compétences
Les compétences confiées à moi au bureau de l’OSCE à Erevan pour le Projet de la Guillotine se variaient avec le temps, mais les principales taches inclues dans le contrat étais les suivantes :
Les difficultés arrivées
En tant que stagiaire au Bureau de l’OSCE à Erevan au sein du projet extrabudgétaire de la Guillotine Régulatrice en Arménie, pour une période de douze mois j’ai rencontrés pas mal de difficultés, pour les taches assez différentes du management du projet, la programmation, la hiérarchie, le management de crise etc. Grace à une forte connaissance du sujet de la part de mon Superviseur, qui consacre pas mal du temps pour m’expliquaient les détails du travail, les problèmes et le savoir-faire de les résoudre, avec le temps j’avais plus de confiance en mois et sortais facilement des situations complexes.
J’ai rejoint le projet de Guillotine Régulatrice tout de suite après son lancement. Cela provoque ces points négatifs à propos du niveau et le charge de la recherche réalisée dans le domaine, qui a été déjà effectué par les officier de la dimension EcoEco du Bureau de l’OSCE à Erevan. Il m’a fallu un peu plus de temps pour bousculer mes connaissances, en lisant les documents officiels, la littérature appropriée de le domaine, en tous ce qui a été fait, des projets parvenue, des contactes de jour a jour pour pouvoir être en forme en tant qu’une assistante au projet.
PARTIE III: LES PROBLEMES MISE EN QUESTION
Une nécessité de la continuation du projet s’est évoquée par le Centre successivement par le milieu des donateurs, quand la question de la durabilité et efficacité du projet sont mise en question.
Le point fort du lancement et financement du projet par les donateurs, et l’engagement en général était le fait de création d’une Centre d’Evaluation de l’Impact Règlementaire (EIR), qui est une preuve.
Le stage au seine du Bureau de l’OSCE à Erevan et des différents rencontres avec des organisations partenaire dans le cadre du Projet de Guillotine m’ont faire suivre et être d’accord avec l’idée que le meilleur moyen pour la survie du projet et sa continuité reste l’établissement d’une Centre d’Evaluation d’Impact Règlementaire (EIR). Le problème qui se pose c’est la Loi sur « Les Actes Légales» qui avec son article 27 …1 qui nécessite un changement. Apres plusieurs négociations sévères eu lieu entre les donateurs et le Gouvernement, un accord s’est développe à propos duquel le Centre reste dans la structure du Gouvernement ayant un statut à part qui sera en charge de décider la nécessite et l’efficacité d’une introduction ou l’élimination d’un tel ou tel acte légal. De plus d’autonomie j’avais dans mon travail de plus recherche s’est effectuée je comprenais de mieux en mieux que le bénéficiaire, en en forme du peuple arménien nécessite de d’avoir des racines stable pour pouvoir lutter contre la corruption, une meilleur gouvernance, bonne administration, et développement économique dans le sens large et globale. Imaginer un autre meilleur moyen pour pouvoir arriver à des résultats sensibles, ce comme si inventer une bicyclette. La route pour créer des relations stables et profondes en coopérant avec le Gouvernement arménien dans un issue assez large et d’importance critique pour la future du pays la Guillotine a un potentiel important, qui en ce cas le peuple arménien lui-même, en utilisant ses ressources proprement qui est finalement le destinataires du Projet. Un pas important s’est effectué de la part du Gouvernement arménien qui dès le début a montré un peu de résistance à propos de ce sujet frauduleuse pour lui, mais a finalement perdu le poids car les principaux joueurs espèrent d’autres résultats et chiffres de cet immense projet, touchant toutes les sphères de fonctionnement sauf la sécurité et la défense nationale. Les meilleurs garanties pour les donateurs à propos du projet de la Guillotine s’est sa fondation en tant qu’une entité indépendant qui a l’autorisation de revoir et conclure la nécessité d’introduire ou d’éliminer tels ou tels actes légales, en présentant simultanément une évaluation un impact des couts.
L’évaluation de l’impact est un system continué ayant un but strict d’évaluer :
- La notion permet d’indiquer l’Evaluation d’Impact étant un instrument qui permet :
- Problématique :
CONCLUSION
Cette expérience au bureau de l’OSCE à Erevan, m’a permis de mettre en application les connaissances théoriques acquises au cours de mon cursus universitaire. Le rapport personnel dont plusieurs choses j’ai déjà acquises pendant mon travail a l’Ambassade d’Arménie en France (on peut le voir de deux cotes : travail a l’étranger et aussi travail dans un établissement diplomatique) m’a beaucoup aidé de pourvoir intégrer facilement dans un milieu international, comme la majorité du travail et du temps se passe avec les superviseurs qui sont dans la majoritairement des étrangers. Je crois fortement que c’étais le point du succès de mon stage et la facilite d’intégration dans le personnel.
L’autonomie est un point fort de ce travail, mais qui nécessite de la rigueur et de la puissance. Même si ca fait peur au début vous, cela vous donne plus de possibilité de compter uniquement sur vous et pouvoir montrer au maximum vos capacité professionnelles.
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- www.oecd.org
- www.regulations.am
- www.sipri.org
- www.worldbank.org
Table des matières
Presentation du projet de stage, des raisons du choix,des motivations……… 5
2. Mise en perspective au regard du Master SID et de la vir professionnelle actuelle ou envisagee. 5
3. Presentation de l’Institution………………………………………………………………… 6
L’OSCE.. 6
5. Aspects Interconnectés de la sécurité. 7
6. Les Trois Dimensions………………………………………………………………………….. 8
4 10
5 L’Aspect Economique de l’OSCE………………………………………………………. 11
6 13
7 13
8 15
9 15
10 17
11 17
12 18
13 18
14 Sur le Terrain…………………………………………………………………………………… 20
15 L’OSCE en Chiffres………………………………………………………………………….. 21
16 Budget………………………………………………………………………………………………. 21
17 Activités…………………………………………………………………………………………….. 21
18 22
19 23
21 Le Mandat………………………………………………………………………………………… 24
22 Les Activités Soulignées……………………………………………………………………… 24
23 La dimension Economique Environementale……………………………………….. 25
24 Conference de la Cooperation Economique et Environnmental de Bonn 26 (1990) 26
25 Le Forum Economique et Environnemental………………………………………… 26
26 Le document strategique de la Dimension Economique et………………………… Environnementale 27
27 La Guillotine Regulatrice………………………………………………………………….. 28
28 La Guillotine…………………………………………………………………………………….. 30
29 La eGuillitone……………………………………………………………………………………. 31
30 Bibliographie……………………………………………………………………………………. 33
31 Annexe I…………………………………………………………………………………………… 34
32 Annexe II………………………………………………………………………………………….. 35
33 Annexe III………………………………………………………………………………………… 36
34 Annexe IV………………………………………………………………………………………… 37
35 Annexe V………………………………………………………………………………………….. 38
36 Annexe VI………………………………………………………………………………………… 39
37 Annexe VII……………………………………………………………………………………….. 40
38 Annexe VIII……………………………………………………………………………………… 41
39 Annexe IX………………………………………………………………………………………… 42
40 Annexe X………………………………………………………………………………………….. 43
41 Annexe XI………………………………………………………………………………………… 45
[1] Voir Annexe I
[2] OSCE Handbook ; OSCE Press and Public Information Section) Vienna 2007
[3] http://www.osce.org/fr/secretariat/35779
[4] http://delegfrance-osce.org/
[5] Scott Jacobs, Directeur General, “Jacobs, Cordova & Associates”
[6] «The Role of the Economic Dimension in Conflict Prevention», UN, 2002
[7] «The OSCE and the Multiple challenges of transition; the Caucasus and Central Asia», F.SABAHI, D. WARNER 2004
[8] Economic and Environmental Forum (EEF) 20 years
[9] Source intérieur du Bureau, non publiée
[10] Voir Annexe VI
[11] Jacobs, Scott (1999) “The Second Generation of Regulatory Reforms,” Paper presented at IMF Conference on Second Generation Reforms, 8-9 November 1999, Washington, D.C.
[12] OCDE-Organisation de Coopération et Développement en Europe
[13] Voir Annexe II
[14] http://www.doingbusiness.org/data/exploreeconomies/armenia/
[15] Voir Annexe V
[16] www.e-guillotine.com