Comment satisfaire le directeur de mémoire à l’INSEEC business school ?
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L’INSEEC business school c’est une école de commerce qui fait partie des écoles de commerce les plus réputées, les plus connues en France. C’est une école post-Bac dans laquelle vous serez la plupart du temps systématiquement amené à rédiger un mémoire. Donc les attentes des mémoires d’école de commerce d’une manière générale sont assez standardisées en France pour l’INSEEC. On a su identifier quelques attentes qui sont spécifiques à cette école.

Tout d’abord sachez-le, c’est que vous aurez la chance en quelque sorte d’être suivi par un directeur de mémoire

Le directeur de mémoire, il ne faut pas le voir comme une personne qui est là pour vous ralentir, pour vous mettre des bâtons dans les roues, mais comme quelqu’un qui est là pour vous superviser, pour faire des synergies avec vous, vous apporter des conseils qui vont vous permettre de mettre toutes les chances de votre côté, d’avoir la meilleure note possible à la fin. Donc voyez-le comme un partenaire. Ce qu’attend votre directeur de mémoire déjà au niveau de la partie “revue de littérature”, ça va être des sources de qualité. Le plus important sur un mémoire d’école de commerce, ça va être sur la revue de littérature en l’occurrence avec le caractère académique de ces sources. 

Qu’est ce qu’on entend par caractère académique ? On attend des articles de recherche, des articles scientifiques, des ouvrages qui constitueront des sources considérées de qualité. A contrario les blogs, les sites internet inconnus, les ouvrages qui sont peu connus, peu réputés ou les blogs personnels par exemple, sont des sources absolument à éliminer. Pourquoi ? Parce que même si le contenu qui y figure est intéressant et pertinent, pourquoi pas, il va vous dévaloriser. C’est à dire que quand vous allez faire apparaître en note de bas de page ou au sein du document en fonction des normes de référencement qui vous sont imposées par l’école, vous allez dévaloriser puisque vous allez montrer que vous avez utilisé des sources de second choix pour rédiger et ça sera mal vu. Ce sera mal vu et souvent les tuteurs quand ils lisent ne serait-ce qu’en diagonale, voient apparaître les sources et la matière première en quelque sorte sur laquelle vous vous êtes basé pour puiser l’information, s’ils voient des sources de qualité, ça va tout de suite valoriser le travail. Cela va sauter aux yeux. C’est le premier élément au niveau des sources.

Deuxième élément c’est leur niveau de récence.

Donc niveau de récence moins de 5 ans en école de commerce ou moins de 5 ans c’est très bien. Si vous avez des sources qui ont plus de 5 ans, 10 ans, 15 ans en école de commerce, en sciences de gestion, c’est pas “bien” parce qu’il y a un risque d’obsolescence qui est important. C’est-à-dire qu’on veut avoir des sources qui sont plus récentes d’actualité et qui remettent en question, qui contredisent les sources plus anciennes. Et que si vous vous retrouvez à la soutenance, ou au moment de  l’évaluation et qu’on voit qu’il y a des informations qui contredisent et qui actualisent ces informations que vous avez utilisées, vous vous mettez en porte à faux et vous allez faire vous êtes critiquer. Vous allez in fine être pénalisé au niveau du mémoire. Donc on utilise des sources récentes, moins de 5 ans c’est très bien. Si vous le faites, vous marquez des points avec les sources académiques. Ne serait-ce que cela déjà si vous aussi vous respectez ces règles là, vous allez marquer beaucoup de points.

Autre élément pour réussir ce type de mémoire, ça va être au niveau de la partie empirique

On va chercher à apporter une vraie valeur à l’entreprise, une vraie valeur déjà quantitativement. Il faut que cette partie représente à peu près la moitié du mémoire. Il faut éviter d’avoir une revue de littérature, une très importante et une partie empirique qui soit relativement concise puisqu’il y aura un déséquilibre, et c’est un motif de refus. Donc très important, l’équilibre entre la partie théorique et empirique et au sein de cette partie empirique, qu’est ce qu’on va faire ? Des questionnaires, des entretiens en fonction de la méthodologie sur laquelle on part, si on part sur du qualitatif ou quantitatif ou une étude de cas qui est une méthodologie parfaitement recevable ; une étude de cas sur une entreprise dans laquelle vous avez été en stage et à partir de laquelle vous avez pu effectivement récupérer des informations intéressantes et qui pourront aider vos confrères au sein d’autres entreprises; qui pourront aider, si c’est une problématique marketing, un directeur marketing d’une autre entreprise etc. Donc on peut se focaliser sur cette entreprise à condition qu’on sera en mesure de retirer des informations intéressantes. Donc on aboutit toujours sur ce plan d’action, in fine ou ces recommandations, ces préconisations. Un mémoire ne saurait avoir une revue de littérature et une partie empirique si in fine, le cœur de la valeur ajoutée c’est les recommandations qu’on apporte si elles sont inexistantes. Cela ne sert à rien de faire tout ça avant si dans le prolongement on ne va pas apporter notre propre valeur ajoutée, qui va reposer sur ces préconisations. 

Sachez-le, les tuteurs on dit que certains ne lisent que l’introduction, le plan, la conclusion. Bon c’est pas tout à fait vrai, mais c’est pas tout à fait faux en même temps. C’est -à -dire que les tuteurs ont peu de temps. Ils sont très occupés, souvent ils multiplient les activités, et avec tout le respect que j’ai pour l’INSEEC business school, ça nous arrive de voir des étudiants qui ont un défaut de suivi dans le cadre du mémoire. Donc il va falloir qu’il y ait un corollaire en fait de cela, c’est à dire qu’il va falloir porter une attention particulière aux parties les plus importantes, celles qui vont avoir un poids dans la notation, qui sera important, notamment l’introduction, la conclusion, au niveau des sources comme indiqué sur la revue de littérature, il faut que ce soit uniquement des sources académiques récentes. Et au niveau de la partie empirique on va viser à apporter des préconisations de manière conséquente et des préconisations qui vont s’appuyer sur notre partie empirique, sur les entretiens ou les questionnaires qui nous ont permis d’identifier les besoins des clients par exemple. 

Voilà pour ces quelques conseils opérationnels. Maintenant in fine n’oubliez pas qu’il est préférable de faire valider votre mémoire par votre tuteur au niveau de l’INSEEC. Qu’est ce que ça va montrer ? Cela va montrer que vous êtes professionnel, ça va montrer que vous communiquez, c’est ce qu’on attend de voir aussi en entreprise. C’est que vous ne travaillez pas de manière isolée, vous travaillez en équipe, que vous faites des synergies avec votre tuteur, première chose. Deuxième chose vous allez vous sécuriser, c’est à dire que si vous soumettez le mémoire à votre tuteur avant de le déposer, si vous avez une validation pure et simple excellent ! Vous pouvez déposer, vous êtes serein. Si le tuteur à des remarques, on va voir s’il y en a qui conditionnent la validation, qui sont déterminantes pour la validation, ou si c’est simplement des observations qui vont viser à peaufiner le document, auquel cas on sait que de manière tacite, on a déjà une validation du mémoire. Donc n’oubliez pas on soumet à son tuteur et forcément ça implique d’avoir le délai nécessaire pour. Et on regarde les observations du tuteur s’il en a pas. Et à partir de là ça nous permet de nous sécuriser d’un point de vue stratégique par rapport à la validation de ce mémoire. 

Nous espérons que cet article va vous aider à réussir et à valider votre mémoire au niveau de l’INSEEC. Bon courage pour la rédaction de votre mémoire.

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