Une partie empirique ou de travail sur le terrain fait partie intégrante de nombreux projets de recherche en sciences sociales et humaines. Elle implique la collecte et l’analyse de données pour tester des hypothèses. Les données peuvent être quantitatives (chiffres) ou qualitatives (textes en langage naturel, images, vidéos, etc.). Ces deux types de données sont utilisés dans les mémoires, mais pas toujours dans le cadre du même projet. Une composante empirique ou de travail sur le terrain est souvent considérée comme essentielle à la rédaction d’un mémoire. Cependant, il se peut que votre sujet particulier n’en fasse pas un élément essentiel. Nous vous proposons ici quelques conseils pour vous aider à décider si un élément empirique ou de travail sur le terrain vous convient, à vous et à votre projet de recherche.
Le mémoire est pensé comme l’aboutissement d’un travail de recherche dans lequel l’étudiant mobilise activement ses connaissances intellectuelles ou personnelles pour répondre à une problématique spécifique dont le mémoire fait l’objet. Pour bien réussir la rédaction, chaque élève a ses propres astuces. Par exemple, il est largement admis que la conduite d’études sur terrain est un bon point dans un rapport de mémoire. Mais est-ce vraiment une étape indispensable ?
Qu’est-ce qu’une partie empirique ou de terrain ?
Une partie empirique ou de terrain de votre recherche implique la collecte et l’analyse de données pour tester des hypothèses. Ces données peuvent être quantitatives (chiffres) ou qualitatives (textes en langage naturel, images, vidéos, etc.). Les deux types de données sont utilisés dans les mémoires, mais pas toujours dans le même projet. Une composante empirique est aussi parfois appelée composante de terrain ou recherche de terrain. Cela s’explique par le fait que vous participez souvent à votre recherche dans une situation ou un cadre réel. Vous pouvez vous livrer à des observations, collecter et analyser des données ou interagir avec des personnes qui font partie du cadre de la recherche. Dans de nombreuses disciplines, la composante terrain est un élément essentiel du processus de recherche. Par exemple, en psychologie et en sociologie, une composante empirique est une caractéristique commune de nombreux projets de recherche.
Pourquoi une partie empirique ou de terrain est-elle essentielle ?
Une composante empirique est essentielle pour plusieurs raisons. Premièrement, elle vous aide à mieux comprendre votre sujet de recherche. Vous serez en mesure de mieux comprendre les problèmes ou les questions liés à votre sujet de recherche. Vous serez également mieux à même de comprendre les implications de vos résultats. Deuxièmement, elle peut vous aider à identifier vos questions de recherche. Vos questions de recherche sont susceptibles d’être affinées ou modifiées au cours de votre recherche de mémoire. Une meilleure compréhension du problème ou de la question peut vous aider à identifier les questions de recherche. Troisièmement, vous pouvez utiliser les résultats de votre recherche pour vous aider à rédiger votre mémoire. Une meilleure compréhension du problème ou de la question vous aidera à écrire sur vos résultats.
Quand une composante empirique ou de travail sur le terrain n’est-elle pas essentielle ?
Une composante empirique ou de travail sur le terrain n’est pas essentielle à tous les projets de recherche. Vous devrez tenir compte de votre sujet de recherche particulier et de la méthodologie que vous comptez utiliser. Un certain nombre de facteurs peuvent signifier qu’une composante empirique n’est pas essentielle à votre projet de recherche. Tout d’abord, il se peut que votre recherche porte sur un sujet qui ne nécessite pas la collecte de données. Par exemple, si vous rédigez une analyse critique d’un domaine de recherche particulier, vous n’aurez pas besoin de travail sur le terrain. Vous devrez seulement analyser les études de recherche pertinentes. Deuxièmement, vous pouvez faire des recherches sur un sujet qui ne nécessite pas une méthodologie de travail sur le terrain particulière. Par exemple, si vous écrivez sur l’histoire d’un sujet ou d’un domaine particulier, vous n’aurez pas besoin de vous engager dans un travail de terrain. Cependant, si vous écrivez sur un sujet qui est en cours et en évolution, vous devrez peut-être recueillir des données sur le terrain.
Comment décidez-vous si une composante empirique est essentielle pour votre projet de recherche ?
Comme vous l’avez vu, il existe un certain nombre de raisons pour lesquelles une composante empirique ou de travail sur le terrain est essentielle à la rédaction d’un mémoire. Cependant, lorsque vous devez décider si cela est essentiel pour votre projet de recherche particulier, vous devez vous poser quelques questions. Vous devrez peut-être mener vos recherches sur le terrain. Si vous rédigez un mémoire sur un sujet qui nécessite la collecte de données, vous devrez peut-être vous rendre sur le terrain. Par exemple, si vous réalisez une enquête auprès de résidents locaux, vous devrez vous rendre chez eux pour administrer l’enquête. Vous devrez peut-être procéder à une analyse approfondie des données. Si vous rédigez un mémoire sur un sujet qui nécessite la collecte de données, vous devrez peut-être procéder à une analyse approfondie des données que vous avez recueillies. Par exemple, si vous étudiez un problème social, vous devrez peut-être recueillir des données auprès de personnes qui vivent ce problème. Vous devrez analyser ces données afin d’en tirer des conclusions.
Le choix d’inclure des éléments empiriques dépend du sujet abordé
En fait, c’est par rapport au thème choisi que la nécessité de prendre en compte des éléments empiriques ou non doit être posée. La bibliographie suffira amplement. Pour ce faire, vous pourrez vous contenter d’une revue de la littérature existante en prenant soin d’équilibrer les sources nationales et internationales.
Il n’est pas non plus indispensable d’aller sur le terrain si vous choisissez un thème qui a déjà fait couler trop d’encre à vos prédécesseurs. Mais, attention ! Il faudra l’étudier à travers une approche novatrice pour éviter de faire une pâle copie du travail d’autrui.
L’apport des expériences sur terrain dans la rédaction d’un mémoire
Pour les formations orientées sur la recherche, les cas pratiques occupent une place souveraine dans un mémoire de fin d’études. Cette phase pratique peut prendre différentes formes : travail en laboratoire, sondage des consommateurs, contact d’une personne ressource particulière… La démarche varie suivant les disciplines. En général, les études terrain répondent à quatre objectifs :
- Fournir des éléments de réponse fiables et convaincants qui permettront de résoudre la problématique centrale de l’étude. A partir des observations empiriques, l’auteur pourra soutenir le développement de son argumentation face aux hypothèses mises en avant dans la partie introductive.
- Rédiger un mémoire unique et significatif. Pour convaincre le jury, votre mémoire gagne à être illustré par une étude de cas concrète, celui-ci attend de lire un ouvrage riche d’enseignements, qui reflète l’appropriation des acquis pédagogiques, mais aussi votre capacité de réflexion et de résolution des problèmes.
- Bien cadrer le débat dans le contexte de la recherche. L’étudiant qui a entrepris une enquête sur terrain ne risquera pas de tomber dans des digressions inutiles : il sait exactement ce dont il devra parler et éprouvera moins de difficultés dans la présentation et l’interprétation des résultats. L’une des règles fondamentales à savoir, pour écrire un bon mémoire, est de ne pas être hors sujet et en même temps, d’exposer les résultats de manière claire et structurée. Or, consacrer une partie du mémoire à la présentation des acquis ou des témoignages empiriques permet d’aller dans ce sens, en délimitant avec précision le champ de la recherche.
- Contribuer aux avancées de la recherche scientifique. Si, au-delà du Master, vous ambitionnez de suivre une formation doctorale, il faut vous attendre à une série d’investigations accompagnées d’expériences sur terrain. Ainsi, les exercices d’état de lieux et d’expérimentation seront bénéfiques pour vous.
Comment rédiger la partie terrain ?
La qualité du rapport de mémoire repose en grande partie sur la clarté de la démarche méthodologique. Songez à mettre en relief les instruments sélectionnés pour vérifier chaque hypothèse : économétrie, enquête quantitative, enquête qualitative, analyse statistique…
Dans la partie « Résultats », les observations empiriques doivent apparaître dans un ordre logique. Aux longs textes fastidieux, préférez les tableaux, graphes ou diagrammes qui rendent possible une vue comparative des résultats.
Ces derniers donnent, à partir de proportions et de moyennes, une mesure de l’importance à accorder aux faits et déclarations recueillies sur terrain et serviront de base pour conduire une discussion critique.
Votre partie empirique servira de support pour apporter de vraies préconisations ou un plan d’action en fonction du type de mémoire que vous serez amené à rédiger, cette partie constituera le cœur de la valeur ajoutée de votre mémoire.
Une composante qualitative est-elle essentielle à la rédaction d’un mémoire ?
Une composante qualitative est souvent une partie essentielle de la rédaction d’un mémoire. Il s’agit d’un type de recherche empirique ou de terrain qui utilise des données en langage naturel. Vous pouvez utiliser des données qualitatives dans votre mémoire de plusieurs façons. Vous pouvez mener des entretiens, recueillir des observations ou vous concentrer sur un texte en langage naturel existant, tel qu’un article ou un chapitre de livre. La plupart des mémoires comportent une composante qualitative sous une forme ou une autre. C’est particulièrement vrai pour les recherches en sciences sociales et humaines. Toutefois, c’est également le cas pour de nombreux projets de recherche quantitative.
Une composante quantitative est-elle essentielle à la rédaction d’un mémoire ?
Une composante quantitative n’est généralement pas une partie essentielle de la rédaction d’un mémoire. Il s’agit d’un type de recherche empirique ou de terrain qui utilise des chiffres. Vous pouvez collecter des données en administrant une enquête, en enregistrant des données à partir d’un échantillon ou en analysant des données existantes. De nombreux mémoires ne comportent pas de composante quantitative. C’est particulièrement vrai pour les recherches en sciences sociales et humaines. Toutefois, c’est également vrai pour de nombreux projets de recherche quantitative.
Quand les deux sont essentiels : comment décider lequel passe en premier ?
Si une composante qualitative et une composante quantitative sont toutes deux essentielles à votre projet de recherche, vous devez décider laquelle passe en premier. Vous devez tenir compte d’un certain nombre de facteurs pour prendre cette décision. Tout d’abord, vous devez décider si une méthodologie est mieux adaptée à votre question de recherche que l’autre. Si une méthodologie est mieux adaptée à votre question de recherche, vous devez décider s’il est préférable de recueillir des données en utilisant une méthodologie ou l’autre. Deuxièmement, vous devez décider si une méthodologie est mieux à même de répondre à votre question de recherche que l’autre. Si l’une des deux méthodes est mieux adaptée à votre question de recherche, vous devez décider s’il est préférable de collecter des données et quelle méthodologie serait la plus adaptée.
Résumé
Il y a quelques points clés à retenir lorsque vous décidez si une composante empirique ou de travail sur le terrain est essentielle à la rédaction de votre mémoire. Il existe un certain nombre de raisons pour lesquelles une composante empirique ou de travail sur le terrain est essentielle à la rédaction de votre mémoire. Une composante empirique ou de travail sur le terrain n’est pas essentielle à tous les projets de recherche. Vous devez décider si une méthodologie est mieux adaptée à votre question de recherche.