Rédiger une conclusion de mémoire parfaite est un excellent moyen de laisser une impression durable à votre lecteur. La rédaction d’une conclusion bien écrite peut être un défi, mais avec les bons conseils et astuces, vous pouvez rédiger une conclusion engageante et réfléchie qui attirera l’attention de votre lecteur. Dans cet article, vous apprendrez comment rédiger la conclusion parfaite d’une mémoire, en comprenant ce qu’est une conclusion et pourquoi elle est importante, en décrivant la structure de la conclusion de votre mémoire et en utilisant des techniques efficaces pour conclure. Grâce à ces stratégies et à ces conseils, vous serez en mesure de rédiger une conclusion qui résume non seulement les principaux points de votre mémoire, mais qui laisse également le lecteur sur un souvenir marquant.
Qu’est-ce qu’une conclusion et pourquoi est-elle importante ?
La conclusion est la dernière partie de votre mémoire qui résume vos arguments et laisse au lecteur un souvenir mémorable. Une conclusion aidera votre lecteur à comprendre le sens de votre mémoire. Une conclusion peut également vous aider à obtenir une meilleure note pour votre rédaction, car de nombreux enseignants déduisent des points pour une conclusion mal rédigée. La conclusion de votre mémoire est la dernière chose dont votre lecteur se souviendra de votre mémoire, il est donc important qu’elle compte.
La conclusion est souvent la dernière occasion que vous avez de faire ressortir votre mémoire. Si votre rédacteur n’a pas attiré l’attention de votre lecteur avec l’introduction, il se peut qu’il soit encore en train de lire votre mémoire lorsqu’il arrivera à la conclusion. Montrer au lecteur que vous avez été attentif à ses besoins et à ses attentes peut faire toute la différence.
Présentation de la structure de la conclusion de votre mémoire
Votre conclusion doit contenir les éléments suivants :
– L’énoncé de la mémoire – Vous devez terminer votre mémoire par une réaffirmation de votre énoncé de mémoire. Cela aidera votre lecteur à comprendre le point central de votre mémoire et comment il s’applique à sa vie.
– Accroche finale – Vous devez utiliser une “accroche” pour que votre lecteur pense à votre mémoire pendant longtemps après l’avoir lu.
– Réflexion finale – Vous devez terminer votre mémoire par une réflexion finale qui rappelle au lecteur la principale conclusion du mémoire et rappeler votre problématique, le résultat de vos recherches et
– finir sur une ouverture qui repose sur une extension du sujet vers de nouvelles questions de recherches
Rédigez un énoncé de mémoire pour votre conclusion
Un énoncé de mémoire est un résumé en une phrase du point central de votre mémoire. L’énoncé de la mémoire se trouve dans le paragraphe d’introduction de votre mémoire, mais il est également utilisé dans le paragraphe de conclusion. Votre conclusion doit reprendre l’énoncé du mémoire et expliquer comment elle s’applique à la vie de votre lecteur. Votre conclusion doit être sensiblement différente de votre introduction. Veillez donc à utiliser une structure, un ton et un choix de mots différents lorsque vous rédigez votre conclusion.
Utilisez des techniques de conclusion efficaces
Les techniques de conclusion sont les meilleures façons de rédiger une conclusion de mémoire. Vous pouvez utiliser ces techniques pour capter l’attention de votre lecteur et expliquer le point essentiel de votre mémoire. Les techniques de conclusion à utiliser dépendent du type de mémoire que vous écrivez.
- Adresse directe – Si vous écrivez un mémoire persuasif, vous pouvez utiliser une adresse directe pour vous adresser directement à votre lecteur. C’est souvent la façon la plus efficace de conclure un mémoire persuasif, car elle crée un lien personnel entre vous et le lecteur.
- Citation – Vous pouvez également utiliser une citation pour terminer votre mémoire. Une citation peut expliquer l’idée principale de la mémoire tout en ajoutant de l’intérêt à la conclusion de la mémoire.
- Résumé – Une autre façon de terminer une mémoire est de faire un résumé. Un résumé peut aider votre lecteur à comprendre l’idée principale du mémoire, mais il n’est pas forcément aussi efficace que les autres techniques.
Rédigez une phrase mémorable pour votre conclusion.
La dernière phrase de votre rédaction est votre dernière chance d’avoir un impact sur le lecteur. Cette phrase doit être unique, mémorable et engageante. Vous pouvez utiliser différentes techniques pour rédiger une phrase mémorable pour votre conclusion :
– Utilisez une question – Vous pouvez rédiger une question qui met au défi ou incite votre lecteur à faire un certain type de changement ou de décision.
– Utilisez un fait intéressant – Vous pouvez ajouter un fait intéressant ou une statistique à votre conclusion pour la rendre mémorable.
Vérifiez que votre conclusion ne contient pas d’erreurs
Une fois que vous avez rédigé la conclusion de votre mémoire, vous devez la relire pour vous assurer que tout est correct. Assurez-vous que la conclusion est cohérente avec le reste de votre mémoire et que les techniques de conclusion sont appropriées au type de mémoire. Si vous avez le temps, vous pouvez également demander à quelqu’un d’autre de lire la conclusion pour vous assurer qu’elle ne contient pas d’erreurs.
Comment valoriser votre conclusion
La meilleure façon de terminer votre mémoire sur une bonne note est de rendre votre conclusion remarquable. Voici quelques conseils pour vous aider à bien terminer votre rédaction.
– Rédigez une conclusion unique – La conclusion est l’occasion d’être créatif et de rendre votre mémoire mémorable. Soyez différent des autres mémoires et utilisez des techniques de conclusion qui auront un impact sur votre lecteur.
– Laissez une impression durable – Votre conclusion doit laisser une impression durable à votre lecteur. Cela signifie qu’elle doit laisser une impression positive dont votre lecteur se souviendra.
– S’appliquer au lecteur – La conclusion doit s’appliquer au lecteur et à sa vie. Cela signifie que la conclusion doit expliquer comment l’énoncé du mémoire s’applique au lecteur.
Exemples d’excellente conclusion de mémoire
Conclusion
Faut-il toujours souligner qu’il n’existe pas de stratégies universelles de rémunération des salariés, et cela ne fait pas exception du cas particulier des vendeurs d’entreprises commercialisant des biens et/ou services. Néanmoins, du moment qu’il n’existe pas de relation directe entre la configuration des différentes composantes de la rémunération et la performance de ces vendeurs, il apparait pertinent d’appréhender les éléments sur lesquels ces entreprises s’appuient pour élaborer et adapter leurs stratégies de rémunération afin d’obtenir une meilleure performance de la vente.
L’analyse a révélé que l’employeur tient compte du niveau de complexité des missions attribuées aux vendeurs lorsqu’il établit le système de rémunération de ces derniers. Ce niveau de complexité peut désormais être apprécié à travers la spécificité des compétences requises pour le poste de vendeur, cette spécificité se reflète, elle-même, dans la nécessité (ou non) pour un commercial débutant de suivre une assez longue formation en interne pour bien commencer son travail (il n’est pas question ici d’expérience recherchée en interne, mais effectivement des compétences pour bien débuter ; de même, l’on parle ici de « mission » dans une perspective de long terme et non pas d’objectifs spécifiques à atteindre sur le court terme). Ainsi, plus les missions confiées aux commerciaux exigent des compétences assez difficiles à disposer, plus l’employeur accorde un niveau relativement élevé de salaire fixe à ces vendeurs. Par ailleurs, il semble que le niveau d’autonomie accordée par l’employeur à leurs commerciaux dans leur travail est lié à la structuration de leurs rémunérations. Néanmoins, il est possible de dire que l’autonomie est ici une conséquence des compétences (à la fois de long et de court terme, c’est-à-dire de l’expérience et de performance qui, elles, impactent sur la stratégie de rémunération comme évoqué précédemment) plutôt qu’un facteur déterminant ces stratégies.
Les autres hypothèses ont été infirmées, concernant la relation de l’abondance / la rareté des vendeurs recherchés par l’entreprise sur le marché du travail et le niveau de la part variable individuelle de ces vendeurs ; concernant l’intensité de la concurrence à laquelle fait face l’entreprise et la fréquence de la mise à jour des stratégies de rémunération des commerciaux ; et concernant le niveau de risque de comportements contreproductifs chez les vendeurs et l’introduction d’une part variable collective dans la rémunération. Néanmoins, cela (ces infirmations d’hypothèses) ne signifie pas que ces éléments (le marché du travail, la concurrence, et le risque comportemental chez les vendeurs) n’ont aucun effet sur les rémunérations. Ces infirmations sont surtout dues à la forte hétérogénéité des pratiques des organisations en matière de rémunération des commerciaux, une disparité pouvant être inhérente par exemple au secteur d’activités, au niveau de maturité des entreprises, au style managérial, etc. Tout cela ouvre autant de pistes de recherche à explorer pour approfondir la présente étude.
En outre, il y a lieu de reconnaitre certaines limites majeures de cette recherche, qui sont essentiellement des limites méthodologiques. En effet, la recherche qualitative via des entretiens a (seulement) permis d’appréhender la direction et le sens de la relation entre les niveaux de compétences et le niveau du salaire fixe des commerciaux. Une étude quantitative est nécessaire pour mesurer l’ampleur de cette relation, c’est-à-dire le niveau de difficulté pour un vendeur débutant pour acquérir les compétences nécessaires à son travail (en termes de durée de formation en interne, par exemple) correspondant à un certain niveau du salaire fixe. Il convient également de reconsidérer les autres hypothèses non confirmées en affinant le champ de recherche (en se focalisant sur un secteur d’activité et un niveau de maturité d’entreprise, par exemple).
Erreurs courantes à éviter lors de la rédaction d’une conclusion
Évitez de commettre les erreurs suivantes lorsque vous rédigez la conclusion de votre mémoire.
– Utiliser trop de techniques différentes – Veillez à n’utiliser qu’une ou deux techniques de clôture dans votre conclusion. L’utilisation de trop de techniques ne fera qu’embrouiller votre lecteur.
– Être trop général – La conclusion est votre dernière chance d’être spécifique et de répondre aux besoins de votre lecteur. Veillez à ce que votre conclusion soit spécifique et axée sur les besoins du lecteur.
– Ne pas répondre à la problématique du mémoire – La conclusion reprend l’énoncé de la mémoire et explique comment il s’applique au lecteur. Assurez-vous de répondre à l’énoncé du mémoire, même si vous utilisez un autre type de technique de conclusion.
– Rédiger une conclusion inintéressante – La conclusion doit être engageante et intéressante. Veillez à ce que votre conclusion ait suffisamment de “punch” pour laisser une impression durable à votre lecteur.